le bon dieu ne bois ni ne
manger rien de personne,
mais il paye ceux qu'il doit.
La population française avait, dès sa naissance ,jugé la L.V.F. à sa juste valeur .Elle avait d'instinct compris que c'était la propriété ,la"chose" des occupants et regardait avec mépris et sévérité les hommes qui apportaient leur aide à l'entreprise.
On vit plusieurs fois cette scène atroce: le SS se suspendant aux jambes du condamné et donnant des secousses, ou le frappant du poing, ou avec l'échelle, quand le malheureux était agité de spasmes. Les SS achevèrent à la mitraillette ou au pistolet ceux qu'ils trouvaient trop lents à mourir. (p.385)