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Critique de rotsenamrub
De tous les oiseaux marins, c'est le Macareux moine (Fratercula arctica pour ceux qui ont pris option Latin) que je préfère.
S'il n'a pas l'élégance du Fou de Bassan (Morus bassanus) ni l'allure bouffonne du Gorfou de Moseley (Eudyptes moseleyi) cet oiseau pélagique au bec orange et à l'oeil perpétuellement triste se débrouille toujours pour avoir son temps d'antenne.
Documentaires animaliers, reportages divers, sur la pêche, les iles, la mer, les fjords, le Macareux moine s'invite et s'il s'avère indisponible il dépêche l'un de ses cousins, rhinocéros, cornu ou huppé.
Passant l'essentiel de son temps en haute mer à chasser motelles, lançons et autres sprats dont il fait son ordinaire, il ne gagne les côtes qu'au printemps pour nidifier sur les falaises, copuler et en élever les conséquences.
Pour qui n'a pas la fibre ornithologique la vie de ce volatile ne présente guère d'intérêt, j'en conviens.
Cet insipide recueil de Philippe Delerm non plus.
S'il n'a pas l'élégance du Fou de Bassan (Morus bassanus) ni l'allure bouffonne du Gorfou de Moseley (Eudyptes moseleyi) cet oiseau pélagique au bec orange et à l'oeil perpétuellement triste se débrouille toujours pour avoir son temps d'antenne.
Documentaires animaliers, reportages divers, sur la pêche, les iles, la mer, les fjords, le Macareux moine s'invite et s'il s'avère indisponible il dépêche l'un de ses cousins, rhinocéros, cornu ou huppé.
Passant l'essentiel de son temps en haute mer à chasser motelles, lançons et autres sprats dont il fait son ordinaire, il ne gagne les côtes qu'au printemps pour nidifier sur les falaises, copuler et en élever les conséquences.
Pour qui n'a pas la fibre ornithologique la vie de ce volatile ne présente guère d'intérêt, j'en conviens.
Cet insipide recueil de Philippe Delerm non plus.
