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Critique de fredbologsen
Avec sa première gorgée de bière, Philippe Delerm a ouvert son paquet entier de "madeleines", en passant de cette gorgée aux gâteaux du dimanche, jusqu'aux repas improvisés, à la dernière minute, et les petit pois que l'on écosse. Et bien d'autres...
Un petit recueil de souvenirs d'une centaine de pages qui se lit d'une traite, et facilement, et qui évoque, évidement, chez tout lecteur, ses propres souvenirs.
Si je n'ai pas vraiment été "embarqué" par le style de l'auteur, c'est le premier de ses romans que je lis , il a quand même réveillé en moi de vieux souvenirs d'enfance, et je me suis revu à 3/4 ans me baigner dans les criques de Porticcio sous la surveillance de mes grands-parents maternels, m'endormir le soir recouvert d'une couverture de couleur rouge et légère, ou pêchant des crabes dans les rochers, quand mon grand-père ne m'enrênait pas avec lui pêcher à la ligne les girelles, dans sa barque qui nécessitait une demi-douzaines d'hommes pour la mettre à l'au tant elle était lourde. Plus tard les repas du dimanche et le poulet-frites...et les gâteaux, bien sûr.
Je pense que je tenterai une autre lecture de cet auteur. Si l'occasion se présente, comme cette fois, au village du livre de Montolieu.
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Un petit recueil de souvenirs d'une centaine de pages qui se lit d'une traite, et facilement, et qui évoque, évidement, chez tout lecteur, ses propres souvenirs.
Si je n'ai pas vraiment été "embarqué" par le style de l'auteur, c'est le premier de ses romans que je lis , il a quand même réveillé en moi de vieux souvenirs d'enfance, et je me suis revu à 3/4 ans me baigner dans les criques de Porticcio sous la surveillance de mes grands-parents maternels, m'endormir le soir recouvert d'une couverture de couleur rouge et légère, ou pêchant des crabes dans les rochers, quand mon grand-père ne m'enrênait pas avec lui pêcher à la ligne les girelles, dans sa barque qui nécessitait une demi-douzaines d'hommes pour la mettre à l'au tant elle était lourde. Plus tard les repas du dimanche et le poulet-frites...et les gâteaux, bien sûr.
Je pense que je tenterai une autre lecture de cet auteur. Si l'occasion se présente, comme cette fois, au village du livre de Montolieu.
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