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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ce sixième tome constitue une excellente conclusion pour une série dont la qualité ne s'est pas démentie au fil des albums, ce qui est suffisamment rare pour être souligné.
En fait, j'avais compris qui était le coupable dans le tome précédent, et j'ai été contente de voir que mon intuition se vérifiait.
Dire que c'est un happy end serait exagéré, mais c'est une très bonne fin qui boucle la boucle.
Le scénario de Desberg s'avère efficace et bien construit, et il est parfaitement servi par les dessins de Griffo qui sont tout à fait adaptés à l'époque et au style de l'histoire.
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Ce tome six est celui des révélations, de certaines retrouvailles et des règlements de comptes qui forment un tout.
On y retrouve aussi quelques personnages qui avaient disparus ou s'étaient fait moins présents et le dénouement hélas ne m'a pas pris au dépourvu.
On aurait pu penser que là s'arrêtait l'histoire, mais deux autres tomes suivent encore.
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Ca y est, c'est fini, Jay Sherman connait enfin le fin mot de l'histoire.
Après un 5e tome qui nous amenait avec force tensions au grand final, celui parait un peu longuet...mais bon.
Les fils se dénouent pour dévoiler le visage du grand méchant et...je ne vais rien dire....
On sent que les auteurs ont tenté de sortir d'un schémas manichéen mais, il faut se rendre à l'évidence, la fin est terriblement conventionnelle à ce niveau.
Je ne reviendrai pas sur le dessin de Griffo qui fait le minimum syndical depuis 4 tomes...mais ça passe, alors pourquoi se fouler...
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Dernier tome de cette série qui aura été homogène et bien pensée. Desberg a su instiller action, rebondissement et surtout beaucoup de suspense. Petit à petit nous avons pu découvrir l'évolution de Jay Sherman et de sa famille tant sur sa carrière que sur sa personnalité. Un personnage qu'on a finit par apprécier avec son charme, mais aussi ses défauts.
C'est un scénario qui tient la route et qui garde le lecteur accroché. Le suspense est toujours présent jusqu'au dernier tome, où petit à petit les pièces se sont emboitées pour nous faire découvrir le coupable.
Nous avons donc une fin à la hauteur de la série. Sombre, avec pas mal de désillusion mais quand même un peu d'espoir.

Le dessin de Griffo est léger, agréable. Il a été fidèle à lui même tout au long de la série.
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Voilà, enfin on sait tout de cette histoire. Après quelques tomes à se faire promener dans différentes direction, le fils se dénouent, et la vérité éclate.
Mais je suis un peu déçue par cette fin. Un peu trop gentille pour le personnage principal. Et que je trouve très peu réaliste. Mais surtout, j'avais vue la pirouette arrivée... je ne sais pas pourquoi. L'histoire était peut être trop linéaire.
Mais globalement j'ai pris plaisir à cette lecture.
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Une chute à la hauteur de cette série palpitante. Au fur et à mesure des tomes, on se prend à vouloir lire la suite.
Et lorsqu'on arrive la fin, on est étonné, presque soulagé, car une partie de l'histoire finit bien...c'est au moins ca !
La conclusion est que c'est une série à lire : un très bon scénario, de beaux dessins, de bons personnages ...allez y, c'est du bon !
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Ce sixième volume de la série Sherman marque son épilogue et donc le fin mot de l'histoire et la révélation de l'énigme qui a tenu en haleine le lecteur pendant les précédents volumes.
Je vais tout de suite commencer par l'aspect qui m'a énervée : le fait de nous remettre pour la centième fois la menace téléphonique reçue par Jay Sherman.
Sérieusement, au bout de six volumes le lecteur a compris, ce n'est pas un crétin fini qui subit un lavage de cerveau après chaque lecture.
Je ne comprends pas ce que vient faire cette redite, leitmotiv dans tous les volumes qui finit par agacer.
Par contre, j'avais hâte de savoir, non pas qui était à l'origine de tout ça (enfin si, mais pas que), ce qu'était devenue Jeannie et surtout si elle avait pu retrouver Ludwig Melchior (mon côté midinette sans doute).
Je ne dirai rien, juste qu'ils ont traversé tous les deux des épreuves durant cette guerre, notamment Ludwig Melchior qui est déporté à Auschwitz et est reconnu par un soldat qui décide de le "protéger" en lui offrant la possibilité de chanter dans des concerts organisés dans le camp pour distraire les nazis et leur famille : "Je ne peux pas vous promettre que vous vivrez. Mais au moins ... vous survivrez.".
Jeannie est toujours un personnage central de cette histoire et comme elle se faisait attendre depuis un certain temps, son apparition n'en a été que plus réussie et bien mise en scène.
Mais le personnage qui prend le plus d'importance dans cet opus est Jay Sherman, et si dans les précédents volumes il avait tendance à m'agacer sur certains aspects de sa personnalité, ce tome-ci lui rend justice en le présentant inquiet : "Au début, j'ai cru qu'avec le temps, elle finirait par me pardonner. Qu'avec le temps, la paix s'imposerait définitivement. Mais le temps ne s'écoule pas de la même manière pour un père que pour ses enfants.", moins sûr de lui et moins séducteur : "Le temps ne s'écoule pas de la même manière pour les hommes que pour les femmes.", essuyant des échecs et des revers de fortune, mais surtout conscient de ses erreurs et les reconnaissant pour la première fois depuis le début de l'histoire : "Maintenant il faut que je paye pour ce que j'ai fait. Les erreurs que j'ai commises. Les chemins que je n'ai pas pris. le salaud que j'ai été, l'homme que j'aurais dû être. le père à qui tu as en partie pardonné. Finalement, je ne regrette pas tant de choses.".
Il mûrit par la force des événements et apparaît moins imbu de sa personne, plus humble, mais que de morts il aura fallu pour en arriver là !
Le scénario de Stephen Desberg est bien construit et tient la route, ce qui n'était pas forcément évident sur la longueur.
J'avais une petite idée qui s'était forgée dans mon esprit lors de la lecture de l'avant-dernier volume, et bien je n'étais pas bien loin de la vérité, disons que j'en ai avais découvert la moitié.
Ce n'est pas forcément évident de deviner la manipulation, les ficelles sont bien tirées par le scénariste, disons qu'un lecteur attentif trouvera quelques clés du mystère mais que ceci ne lui gâchera pas le plaisir de cette lecture.
Quant aux dessins de Griffo, je les trouve visuellement très beaux, harmonieux, rendant la lecture plaisante et donnant du relief à l'histoire et à l'action.
La lecture achevée, je suis curieuse d'imaginer ce que cela pourrait donner en téléfilm, à mon avis avec un scénario légèrement retravaillé il y aurait matière à faire quelque chose de visuellement réussi.

"Le pardon, Jeannie" marque l'épilogue ô combien relevé et attendu de la série Sherman, remarquable par son scénario et la qualité de son graphisme et se caractérisant par une publication rapprochée des tomes, chose plutôt rare pour une série en bande dessinée.
Sherman est une série à découvrir et à lire d'une seule traite pour bien en apprécier les ficelles et les rebondissements.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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Critique des 6 tomes

Cette histoire commence dans les années 50-60 (il m'est difficile de déterminer la date exacte) à New York. Jay Sherman, un riche banquier assiste au discours de son fils, candidat à l'élection présidentielle américaine. Alors que celui-ci quitte la salle d'interview, il est abattu par un homme. Plus tard dans la soirée, alors qu'il attend des nouvelles de son fils, toujours entre la vie et la mort, Jay Sherman reçoit un appel anonyme dans lequel on lui prédit la destruction de son empire et la mort de sa fille, Jeannie. S'ensuit alors une course contre la montre pour retrouver Jeannie et la protéger de celui qui veut faire tomber Sherman.

D'après l'auteur du coup de fil, « Tout se paie ici bas ». Sherman en conclut donc qu'il a dû faire quelque chose qui a provoqué la colère de son agresseur. A l'aide d'un vieil ami, directeur du FBI, il se replonge dans son passé afin d'identifier la personne qui pourrait lui en vouloir au point d'assassiner ses enfants. L'intrigue nous emmène donc du début des années 1900 aux années soixantes, de l'enfance dans la rue à l'ascension de Wall Street, à l'aide de flashbacks et de retours au présent.

Le plus gros défaut de cette saga sont ses « rappels » récurrents des évènements précédents qui sont intégrés dans le récit sans distinction de forme ou de couleur et qui, parfois, m'ont perturbée dans ma lecture. Ils m'ont souvent semblé inutiles mais peut-être est-ce parce que j'ai lu les six tomes à la suite les uns des autres dans un intervalle de temps très court et que donc, je me souvenais de tous ces éléments.

En dehors de cela, Sherman est vraiment une bonne série. Les dessins sont très bien réalisés, fort détaillés. L'intrigue tient la route et la fin est assez inattendue. Certains personnages, par contre, sont assez caricaturaux : les méchants nazis avides de pouvoir et d'argent, les mafieux pas bien malins ou les femmes objets que Robert séduit sans arrêt. Heureusement, ce n'est pas le cas de tous les personnages : Jay, par exemple, est loin d'être un héros blanc comme neige. La traversée des époques, quant à elle, nous permet de vivre les grands moments du siècle dernier : le krach boursier, la montée du nazisme et leurs conséquences sur l'économie américaine.

Je vous conseille donc de lire ces 6 tomes qui m'ont tenue en haleine du début à la fin !
Lien : http://maghily.wordpress.com..
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