Face à la maladie incurable de sa mère, le narrateur s'impose un sauvetage en trois mouvements : se perdre, s'abandonner, se corriger. de corrections il en est vaguement question de par son métier de correcteur pour un journal, mais on pense aussi à celles de Franzen qui consistent à corriger la trajectoire de ses parents.
Sous influence
Jean-Philippe Toussaint (sans l'humour décapant) et
Jean Mattern (sans la spiritualité), ce premier roman est plus qu'honnête, et son image de fin a toutes ses chances de rester ancrée en tête un certain temps.