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3,69

sur 3468 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je pense que je n'ai pas tout compris du fond de l'histoire... le fil conducteur est relativement clair et mignon mais brodé de plein d'éléments superflus et inintéressants selon moi. Même si parfois cette histoire m'a fait sourire, je me suis profondément ennuyée pendant la majorité du temps de lecture!
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Ce livre a eu tellement de succès qu'il me tardait de le découvrir. Et la seule chose que je retiens de ma lecture, c'est l'ennui que ca m'a apportée. Je me suis ennuyée du début à la fin, j'ai trouvé l'histoire sans intérêts et pleine de longueurs. Vu les critiques, je me dit que je ne suis simplement pas la cible pour ce bouquin. Je n'aime pas abandonner un livre donc je me suis vraiment forcé à le terminer. En bref, mauvaise surprise pour moi, je ne pense pas relire du Didierlaurent demain.
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Ça commençait bien, pourtant. Guyslain Vignolles est un jeune homme discret, monté à Paris pour y perdre ses dernières illusions (passons l'acte fondateur de son détachement à la Meursault : son nom, sujet à une vilaine contrepèterie, c'est peut-être un peu léger pour un traumatisme). Sa mère croit qu'il est employé d'une prestigieuse maison d'éditions mais c'est dans les bas-fonds des métiers du livre qu'il officie : il est préposé au pilonnage. Son travail consiste à dompter la redoutable machine Zestor je-ne-sais-plus-combien qui, avec ses mâchoires d'acier, détruit voracement les rebuts des éditeurs et des libraires, en vue de produire de la pâte à papier pour les futurs livres à venir… qui finiront pilonnés à leur tour, et ainsi de suite… un cycle sans fin. Mais, chaque soir, il récupère dans les entrailles de la bête quelques feuillets échappés à la destruction et les lit, chaque matin, dans le RER, aux aurores. L'idée est belle et ne manque pas de poésie. On peut déplorer que l'auteur n'ait pas joué totalement le jeu du « hasard » et ne nous ait livré que de la littérature, l'idée d'un mélange réel de toute la production imprimée (livres techniques, manuels, livres de recette, essais divers, livres jeunesse, périodiques en tous genres) aurait pu rendre jaloux les plus oulipiens d'entre nous. On pourra reprocher à ces irruptions de texte dans le texte d'alourdir le récit — j'avoue moi-même ne pas les avoir trouvés transcendants mais, après tout, ce sont des livres pilonnés… [...]

Malheureusement, la métaphore de la condition littéraire fait place, bien trop vite, à une bluette éculée et rapidement repeinte aux couleurs du jour.[...]
Sauf que j'ai terminé ce livre profondément agacée. Je soigne comme je peux mon allergie aux bons sentiments et j'aurais même pu tolérer le côté doucement sucré de la fin, en me disant qu'après tout, c'était juste que ce n'était pas pour moi. Mais il y a quelque chose qui me dérange profondément dans ce livre.

J'ai d'abord l'impression d'un trop grand fossé entre ce que ce livre offre réellement et ce qu'il prétend être. Bien sûr, il se veut accessible, se présente comme un conte moderne, impliquant une relative légèreté, peut-être un peu de philosophie. Il n'a pas, semble-t-il, de grandes prétentions littéraires : la lecture est ici vecteur de lien social, elle relie les gens avant tout, et c'est tout à fait respectable. Oui, mais… Implicitement, le livre érige pourtant une forme de hiérarchisation : il y a ceux qui lisent ou écrivent, comme Guyslain, Julie, ceux qui sont sensibles au texte… et il y a les autres. Les autres, c'est le chauffeur de taxi hagard, presque inquiet, écoutant un vieil homme parler en alexandrins ; le routier impoli, impatient de délivrer son chargement ; c'est « le gros et le con » qui travaillent au pilon, agents de destruction aveugles qui prennent plaisir à détruire les livres, sans que cet appétit ne soit jamais réellement expliqué. A ceux-là, l'auteur voudrait opposer une sorte d'aristocratie du pauvre, de ces simples gens sensibles à la poésie du monde, quand bien même se logerait-elle dans les toilettes d'un centre commercial ou dans la rame de RER. Sauf que c'est là que le bât blesse : outre que la distinction faite est possiblement gênante (je connais tellement de gens biens qui ne lisent pas !), elle ne fonctionne pas.
Lien : https://gnossiennes.wordpres..
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Comment un livre qui a eu autant de succès à sa sortie peut être aussi ennuyeux du début à la fin? Ce roman, bien que rapide à lire, n'a même pas réussi à égayer mes trajets de RER quotidiens.
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Voici un des livres les plus convenus et soporifiques que j'ai lus récemment : histoire sans intérêt, sans queue ni tête, cousue de fil blanc, c'est nigaud, délayé, de la guimauve pure, ne perdez pas de temps avec ce petit roman !
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J'avais entendu parler - en bien - de ce livre. Je m'y suis donc plongé. Hélas, je suis vite revenu à la surface. Tout m'a paru long, ennuyeux. le livre est rapidement devenu pour moi "le raseur du 6 h 27 et je l'ai abandonné...

Lecture à reprendre un jour? Qui sait. Tout livre mérite en effet une seconde chance.
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A sa sortie, on voyait ce roman partout, avec de très bonnes critiques. Ce qui a dirigé mon choix. Et pourtant... Je n'ai pas du tout accroché. L'ennui fut un compagnon tout au long des pages de ce roman, qui m'a ainsi paru interminable. Dommage...
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Impossible d'accrocher avec ce roman pourrant chaudement recommandé par de nombreux lecteurs. J'ai trouvé l'écriture plate et les personnages sans intérêt. Plutôt déprimant et ennuyeux.
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Livre défendu médiatiquement mais très décevant
L idée de départ est bonne mais pas assez développée , trop survolée
Bref grosse déception
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Tous les matins, sur le chemin du travail, Guylain ouvrier, lit aux passagers du RER de 6h27, un extrait d'un livre récupérait dans la chose.
Grâce à se passe temps, il va découvrir des nouveaux personnages.

le livre est long à démarrer et triste du moins jusqu'à la moitié du livre, j'ai abandonné pour l'instant ce livre ....
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