Dommage que l'auteur soit parfois vulgaire, grossier, voire méprisant ou carrément méchant …
Il n'y a pas avec
Guy Sajer, le regard empreint d'amour humaniste et chrétien que l'on trouve chez
Eugenio Corti dans «
La plupart ne reviendront pas », un récit comparable, mais qui, pourtant, fait du bien à l'âme.