Les Aristochats

Quand je pense que je me suis donné tant de mal pour rien! Nom d'un chien, ces chats ne l'emporteront pas au paradis...

"Ce n'est pas du Beethoven, Maman, mais en tout cas ça bouge", pouffe Berlioz.

Ne craignez rien, dit-il à duchesse, je vais m'assurer que vous rentrerez à la maison.

Quel dommage que mes jambes soient si vieilles alors que j'ai les idées si jeunes!

J'entends le vrombissement d'un terrible engin meurtrier: une moto! L'ennemi essaie de nous surprendre, la nuit, sur notre propre territoire! A l'attaque! Sus à ses pneus, à ses mollets, à son derrière!

Au début su siècle, Paris était une ville bien agréable. On pouvait se promener tranquillement dans les rues sans risquer de se faire écraser. On pouvait prendre son temps, flâner, rêver...sans être dérangé par la cohue ou les bruits de klaxons. Il y avait encore si peu de voitures...

Le chat boit la tasse, il crache, il tousse... La rivière le roule comme une vieille souche. Et voilà que le grand O'Malley, la terreur des chats de gouttière, est sauvé par... deux oies blanches, les sœurs Jacasse, qui nageaient par là.

Nom d'un chat! Je n’attendrai pas la mort des Aristochats pour devenir riche. Il faut qu'ils disparaissent tous !