Hate to love

 Au final, on doit tous déterminer ce qu’on désire le plus : vouloir retrouver ce qu’on a eu ou vouloir ce qui pourrait être. Rester ou tout risquer en allant de l’avant. 

Je me demande si ça arrive à la pom-pom girl, quand la musique s’arrête et que tout le monde rentre chez soi. Quand la journée se termine et qu’elle n’a plus personne pour la divertir. Quand, en se démaquillant, elle retire le masque de bravoure qu’elle porte toute la journée. Est-ce que les démons qu’elle garde normalement enfouis se mettent à l’embêter lorsqu’il n’y a plus personne d’autre avec qui jouer ?
J’imagine que non. Les narcissiques n’ont pas de problème de manque d’assurance.
Ça doit être agréable. 

Ne cligne pas des yeux trop fort, tête d’œuf. Tu risquerais de te faire une fracture du cerveau.

« Je ne laisserai jamais rien t'arriver. Tu es ma tribu, Ryen. »

"I guess I wanted a mom. I wanted a family, and I wanted you to see me play the guitar," I tell her. "I wanted to see you Christmas morning and to smile at me and miss me and hold my sister when she was sad or lonely or scared." I watch as she just sits there silently, her eyes glistering. "I wanted you to like us. I wanted you to tell my father that he was a good guy who deserved better than you and that he should stop waiting for you. I wanted you to tell us to stop waiting."
[...]
"I wanted to figure you out. I wanted to understand why my sister died of a heart attack at seventeen years old, because she was taking drugs to keep her awake to study and be the best daughter, athlete, and student, so you would come back and be proud of her and want her!"
[...]
"I wanted to understand why you didn't come to your own child's funeral," I charge "Your baby who was lying on a dark, wet, cold road for hours alone while your new kids," -I shove at a picture frame on her desk, making it tumble forward- "in your new house," -another picture frame- "with your new husband," -the last picture frame- "were all tucked safe and warm in their beds, but not Annie. She was dying alone, having never felt her mother's arms around her."

« Toute la douleur que tu es en train de récolter, elle vient de ce que tu as semé.
Un petit sourire naît sur mes lèvres quand je repense aux paroles de Misha. Il me les a envoyées avec une de ses lettres un jour, pour avoir mon avis. Elles avaient vraiment résonné en moi. Après tout, je récolte ce que j’ai semé, non ? »

On doit d’abord trouver tous les deux ce qui nous rend heureux séparément pour pouvoir être heureux ensemble.

Au moins, quand j'étais petit, ça s'arrêtait une fois que je rentrais à la maison. Mais maintenant on a Facebook et, tout ce que j'entends au cours de la journée, je me le reprends en pleine figure sur Internet, tous les soirs.

« On était parfaits l’un pour l’autre. Jusqu’à ce qu’on se rencontre »

Le monde ne se limite pas toujours à ce qui se trouve devant nos yeux, tu sais ? C'est au-dessus de nous, ou en dessous, ou là dehors, quelque part. Chaque éclat de chaque lumière à l'intérieur de chaque maison que je vois quand je suis perché sur le toit a une histoire. Il suffit de changer de perspective. Et, quand je regarde tout ce qui m'entoure depuis là-haut, ça me rappelle que la vie ne se limite pas à ce qui se passe chez moi.