Encore un classique perdu au fin fond de mes plus anciens souvenirs de lecture !
Le Chien des Baskerville, ou comment sir
Arthur Conan Doyle se permet d'envoyer son cher
Sherlock Holmes s'attaquer à une version de la Bête du Gévaudan, rien que ça ! C'est l'occasion pour nous de bénéficier d'une aventure enjouée où s'oppose gaiement la poigne du docteur Watson et l'activité intensive de l'intellect de
Sherlock Holmes. Point facile de ne pas être redondant avec certaines critiques déjà émises (281 quand vient mon tour, quand même !). L'ensemble se lit très vite, ce qui pourrait être le point faible de cette oeuvre (la quantité), mais c'est toujours un plaisir de revenir à ce genre de classique où se mêle la nostalgie du XIXe siècle et une activité intellectuelle foisonnante comme remède à bien des maux (dont la superstition).
Toujours intéressant !
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