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Critique de LoupAlunettes


"Le chien des Baskerville", un classique monstre dans le genre policier.

Son héros est un personnage emblématique bien connu des lecteurs adultes et finalement transmis à la jeunesse grâce à ses adaptations BD, romans jeunesse et cinématographiques.

Le duo Watson/Holmes, vous connaissez n'est-ce pas, chers jeunes lecteurs?



Nous sommes au XIXème siècle et en Angleterre, l'auteur Sir Arthur Conan Doyle nous aura habitué à la résolution d'énigmes insolubles et diaboliques avec Sherlock Holmes.

Lorsque Scotland Yard rencontre des difficultés avec les nouveaux cerveaux du crime, la police fait appel au détective Holmes, presque aussi tordu que les crapules qu'il traque.

Holmes, on peut le dire, est le plus célèbre profileur connu des fictions policières.

Le personnage jouit d'un instinct et d'un esprit complexe, déductif hors norme qui lui permettent de se substituer aux génies du crime et de parer leur logique comme sur un jeu d'échecs.

Echec et Maths, Moriarty, pour ne citer que lui.

Nous renvoyons aux belles adaptations grands formats illustrées par Christelle Espié chez Sarbacane.





"Le chien des Baskerville" est l'un des récits les plus frissonnants, placé à la frontière du fantastique.

Sherlock est appelé dans les landes du Sud-Ouest de l'Angleterre, une riche famille voit ses derniers membres décimés par une créature démoniaque.

Il ne fait pas bon se promener dans les landes du Devon tard dans la nuit.



La créature n'est qu'une rumeur mais ses victimes sont belles et bien réelles, une véritable malédiction familiale qui s'abat.



Quelle que soit la version, la rumeur prend une allure imposante, des proportions musclées, carnassières, on hésite presque à penser au fameux loup-garou.



Mais il n'en sera rien, le créature tueuse à une nature bien plus rationnelle, l'intrigue est bien ficelée et nous promettons aux lecteurs ados une excellente lecture.

Conan Doyle tenait vraiment cette fois-ci à nous ficher la frousse.

A vous de débusquer la bête.

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