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Citations sur Amours automnales (16)

Ann Blackson… Une jeune femme étrange, mais subtile. Intelligente, redoutable même. Et les voilà toutes deux à s’appeler par leurs prénoms ! Abbie n’a certes pas cherché à nouer une quelconque relation autre que celle d’une employée vis-à-vis de son employeur, mais Ann est si… Ann que les choses ont évolué.
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Face à un fauve, il faut se montrer le plus fort dès le départ. Que ce fauve soit un tigre, un chien ou un ours… Et quelque chose lui dit que l’homme devant elle est un peu des trois à la fois.
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Cette fois, elle fixe Lord Keir et sent quelque chose frémir profondément en elle. Seigneur, qu’il est imposant ! Immense, en fait… Elle doit lever la tête pour regarder le visage sombre qui la foudroie. Quels yeux ! Elle manque de défaillir sous ce regard bleu, glacial. C’est tout juste s’il ne retrousse pas les babines pour gronder. Comme une espèce de fauve furieux. Son premier réflexe est de reculer, le second de s’excuser.
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Il la salue d’un sourire sans s’arrêter. Comme à chaque fois, son cœur se serre, puis s’exalte. Dieu sait qu’elle aime ce jeune garçon ! Impétueux, un peu fou, terriblement attachant…
Il suffit d’un regard d’Abbie sur Ashmi, lorsque cette dernière lui ouvre sa porte, pour comprendre que la grippe ne s’est pas éloignée du château.
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Elle aime énormément tous les habitants de la maison, mais certains touchent davantage son cœur que les autres. Ranjit est de ceux-là. Les ombres mouvantes au fond de ses yeux sombres blessent le cœur d’Abbie. Elle devine qu’il a souffert et constate combien il semble accuser son âge. Il a l’air fatigué, et la grippe qui a sévi sur le château semble lui avoir dérobé une énergie qu’Abbie croyait jusqu’alors inépuisable. Elle veille pourtant à ne pas montrer au fier Indien combien elle est inquiète pour lui.
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Certes, les employés du Baron Noir sont un peu… excentriques, exotiques, étranges… Mais ils sont surtout accueillants, simples, et vivent dans cette harmonie qui naît d’un besoin commun de paix et de tranquillité. Tous ont connu des horreurs, Abbie en a conscience sans qu’aucun ne lui en ait parlé. Ils ont tous cette petite fêlure dans le regard. Elle est heureuse de s’être intégrée si facilement, si rapidement, à la drôle de petite famille que la domesticité du baron formait avant son arrivée. Elle est fière qu’ils l’aient acceptée parmi eux.
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Abbie se ressert une tasse de thé, songe qu’il est facile de juger autrui et d’être raciste sans raison, lorsque l’on appartient à la masse dominante. Mais que c’est autre chose lorsqu’on est la seule personne britannique, blanche et anglicane, perdue dans un immense château au fin fond de la campagne du Yorkshire.
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Elle aime beaucoup Daniel Morrison… C’est un bon garçon, peut-être trop intelligent pour son propre bien, mais avec un cœur d’or, et Abbie le sait incapable de faire sciemment du mal à quelqu’un. Or il s’apprête à faire souffrir plusieurs personnes, même sans le vouloir.
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Elle trouvait les yeux d’Ann Blackson stupéfiants, avec leur nuance unique d’outremer violet. Un regard perçant, dérangeant, presque surnaturel. Mais le bleu froid des pupilles saphir de Lord Keir la trouble profondément. Un bleu qui n’a pourtant rien d’extraordinaire, hormis la manière dont il tranche violemment avec le bronze de sa peau hâlée. De sorte que, soudain, on ne voit plus que cela. Ses yeux, intelligents, incisifs, froids. Et sa bouche, dont la courbe dénote clairement une nature sensuelle, pourtant contrariée par un pli acrimonieux.
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Ce qu’elle a vu de lui a violemment coupé le souffle. Cela fut si rapide. Trop ! Et pourtant, elle a, depuis, l’impression que cette vision s’est gravée dans sa mémoire de façon indélébile… Incapable, sur le moment, de se souvenir qu’il était lord, ni qu’elle aurait dû le saluer avec déférence ou en profiter pour se présenter à lui, elle n’avait été bonne qu’à se figer en béant stupidement.
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