AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,89

sur 31 notes
5
10 avis
4
8 avis
3
6 avis
2
0 avis
1
0 avis
1er livre lu de cet auteur. Il n'est pas à la hauteur des autres. L'idée de départ est excellente mais j'ai été lassé à un moment de la forme du récit avec ces onomatopées vociférées. Trop de cris et de majuscules. Trop de jeux de mots.
Cependant l'histoire est bien ficelée. Je le conseille.
Commenter  J’apprécie          00
Un livre totalement déjanté, inclassable, mais j'ai adoré ! On lit d'un trait cette nouvelle qui rebondit entre un univers très Edgar Allan Poe et des contrepèteries potaches. A la fois noir et paradoxalement burlesque, c'est tout un univers très reconnaissable de Henri, cultivé, visionnaire et si drôle.

Commenter  J’apprécie          00
"Thriller qui fait rire et frissonner dans les transports en commun", totalement inclassable, je découvre 77 Assassins sur un marque page savamment caché dans la tranche d'un autre livre de chez Beta, L'Étoile d'Orion d'Aymeric Janier (que l'on salue par ailleurs). Curiosité attisée dès les premières lignes du résumé, tinté d'un peu de chauvinisme médical (comment passer à côté des livres du Dr Duboc), la cagnotte bouquin raisonne en gling gling de pièces qui s'entrechoquent (ou plutôt le bruit de mes doigts qui composent fiévreux le code de ma carte bleue). le livre trainaille un an (plutôt deux) dans la pauvre bibliothèque Billy qui faseye sous le poids des manuscrits non lus (bientôt une centaine, c'est la décadence), mais sa couverture jaune me rappelle à l'ordre cet été. J'ai besoin de drôle, de sensas et de loufoque ; 77 Assassins répond avec de l'absurde, du fracas et de la satire qui picote (tout le monde en prend un peu pour son grade).
Les collègues littéraires m'ont bien prévenu : ça va décoiffer sévère, ça va partir en vrille et tu n'es pas prête pour ce qui t'attend. Bon, ils ne m'avaient pas menti. Un joli teasing qui décrit bien faiblement la folie littéraire de 77 Assassins, roman noir qui raconte sur fond d'humour huluberlhusse (celui-là il est cadeau) la vie bien tranquille rangée (enfin pour environ deux pages, après ça se corse) de Hachett, l'écrivaillon accessoirement médecin légiste, marié et papounet, une baby-sitter qui bave et surtout, un premier bouquin qui sort des tréfonds de l'enfer. Enfin je ne vous en dis pas plus, mais d'une façon mystérieusement mystérieuse, le dernier acquéreur d'Octet Noir se retrouve sur la table d'autopsie de notre cher Damien (là, comme vous avez déjà lu le résumé, vous vous dîtes elle radote, mais je préfère me dire que vous êtes attentifs).
De là commence la plus folle aventure que vous lirez (enfin que j'ai lu quoi mais on peut extrapoler un peu non ?). Sous couvert de jeux de mots plus pires les uns que les autres (charmants, au demeurant), d'une vulgarité potache et surtout d'un talent incomparable pour me faire mourir de rire dans des situations les plus cocasses (il suffit de dire prout liquide et vous me perdez cela dit), Hachett nous raconte l'enquête autour de la mort (des morts ehe, faudra lire le livre pour en savoir plus) qui tourne autour de lui. Une mystérieuse bouillie blanche, un papier jaune, des connaissances qui deviennent folles, un intestin cordelette et une scène apocalyptique dans un bloc opératoire. Vous avouerez volontiers que ça donne envie de découvrir le fin mot de l'histoire (ou le dernier chapitre ahahahah - oui je m'emballe pardon je souffle un coup).
Au delà de tout ce que j'ai pu dire au dessus, et même si certain trouveront le style parfois "lourdeau" ou "caricatural", Henri Duboc nous offre comme d'habitude un travail d'écriture gigantesque, réfléchi, talentueux (insérer un autre superlatif, vous avez saisi) et qui sort totalement des sentiers battus. C'est débordant d'originalité et ça vous fera passer un très bon moment (même s'il vous faudra parfois retenir un - des - hoquet de dégoût). Alors, vous reprendrez bien un peu de bouillie blanche pour la route ?
Lien : http://thereadingsession.fr/..
Commenter  J’apprécie          20
Ce roman est un ovni, il est complètement différent des autres que j'ai pu lire. C'est un mélange de thriller, de conte horrifique, de comédie, de boucherie, un brin politique aussi et bien d'autres choses.

Autant sur le papier, il a tout pour me plaire, autant dans la réalité je n'ai pas du tout accroché. Il y a énormément d'humour dans le style. Les jeux de mots sont nombreux (d'ailleurs j'ai adoré les titres des chapitres qui sont super bien trouvé), ils se tirent tous dans les pattes mais chaque fois avec humour, il y a des petites insultes, des retournements de situations un peu clownesque,... Mais pour moi c'était trop. J'ai trouvé le début drôle et original et puis ça été vraiment trop et tout le temps donc je me suis vite lassée. Mais je sais que beaucoup trouverons cela génial.

L'histoire est très originale et comme cela touche aux métiers liés aux livres, c'est encore plus prenant (surtout quand on reconnaît ce qui a inspiré les noms ou éléments de l'histoire). Malgré tout, on parle aussi beaucoup de ce qui touche à la médecine (ah bah oui il est médecin légiste vous allez me dire) mais aussi à la police et un peu au monde politique.

L'auteur raconte à la fin, les circonstances d'écriture du roman et ça, ça fait un brin flipper mais ça ajoute de l'épaisseur à l'histoire qui au final se révèle sanglante et touche à un des principes fondamentaux de l'être humain (et peut-être d'autres choses 😉).

Petit bonus quand on a lu au moins le premier tome de Dieu 2.0, on retrouve des clins d'oeil.

Donc voilà, beaucoup de points positifs malgré que ça n'ait fonctionné avec moi donc, a vous de vous faire votre propre avis...
Commenter  J’apprécie          40
" Curieuse ironie : battre à coup d'oxygène, des gens qui, pourtant, ne manquaient pas d'air."

Ce livre est aussi détraqué que la météo de ce premier avril, et, ce n'est pas une blague.

Le temps d'attraper le scalpel et c'est parti pour la dissection. La première chose que l'on peut constater c'est que ce livre est un ovni et qu'il n'a rien de politiquement correct.

On se retrouve face à des cadavres franchement dégueux qui tuent à coup de tout et n'importe quoi après avoir mangé un livre jaune poussin... Si si je vous assure.

En dehors de cette course à l'impossible et des descriptions particulièrement détaillées des différents meurtres, on se retrouve en contact avec un humour particulièrement prononcé. Petit conseil, lisez les noms à voix haute, ça vaut la peine, certains sont de vraies pépites comme notre cher Alfonse Danlta !

J'ai trouvé que toute la première partie du récit était écrit d'une plume rapide, précipitée qui colle bien à la dynamique. La fin est beaucoup plus recherchée tout en étant fluide et agréable. Cette fin d'ailleurs ! Je me suis demandé tout le livre où j'allais atterir. Eh bien la destination est surprenante mais en même temps assez drôle et touchante. C'est un livre à découvrir, on passe de bons moments. Par contre il faut parfois un estomac bien accroché... Âmes sensibles, vous voilà prévenues !

Heureusement que tous les médocs n'engendrent pas une imagination aussi débridée, j'aurais presque peur de prendre mon sirop pour la toux !

Sur ce... MEEEEUUUUAAAARRRRRRHHHHHH!!!!!!!
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          30
Dans quoi j'ai mis les pieds, moi encore ? Dans quelque chose de complètement barré, complètement loufoque, complètement WTF.

L'imagination de @henri_duboc_auteur est… franchement, je ne sais pas si on peut la décrire. Ce qui est sûr, c'est qu'il a une grande imagination, qui part dans tous les sens. Et en plus de ça, il réussit à nous prendre par la main et nous embarquer avec lui dans un univers loufoque sans qu'on ne veuille arrêter le voyage.

Je me suis demandée d'abord si on allait sombrer dans le fantastique, puis dans l'horreur. C'est dans l'horreur, pas de doute.

En fait, le livre m'a fait penser à un film comme Evil Dead. Il y a de l'horreur, du gore, mais on ne peut pas s'empêcher de rire malgré tout. Il y a un côté vraiment défoulatoire dans tout ça.

J'ai d'ailleurs été impressionnée par les scènes plus sérieuses où l'on assiste à de véritables massacres. C'est super bien écrit, bien décrit, on visualise le tout sans soucis, on grimace devant son livre… c'est au top !

Mention spéciale aux nombreux jeux de mots, jeux de noms… Franchement les blagues pourries c'est un peu ma came, et j'ai ricané tout du long grâce à ça.

Quant à la plume, elle peut surprendre au début, mais elle a un côté très dynamique qui fait que l'histoire fil à une vitesse folle !

En gros, je recommande cette lecture, mais attention, c'est spécial et ça peut ne pas plaire à tout le monde !
Commenter  J’apprécie          20
Amis de l'humour potache, 77 assassins, ce livre qu'Henri Duboc nous propose, est pour vous.
Adeptes des univers littéraires déjantés, ce livre est également pour vous.
Cependant, si vous n'êtes ni l'un ni l'autre, mais que vous souhaitiez sortir de votre zone de confort et souhaitiez découvrir de nouveaux horizons, alors je vous invite à vous plonger dans la lecture de ce polar foutraquement loufoque et délicieusement iconoclaste.


Dans cette histoire, Damien Hachett, légiste de son état, récemment nommé médecin-chef de l'Institut médico-judiciaire (IMJ), se trouve confronté à des morts (jusque-là rien que de bizarre, compte tenu de son métier), mais une nuit, il va voir arriver sur sa table d'autopsie, M. le Maire de Fougères, à qui il avait dédicacé le 77ème exemplaire de son premier roman « Octet noir ».
Il faut savoir qu'à ses heures perdues, le Dr Hachett (alter ego de l'auteur) écrit des romans.

La mort de M. le Maire de Fougères sera la première d'une longue série de décès tous plus bizarres les uns que les autres, leur point commun résidant dans le fait que les victimes auraient toutes, dans leur estomac ou dans leur vomi (c'est selon), de la bouillie blanchâtre, bouillie qui se révèlerait être…après moultes conjectures et vérifications au microscope…du papier…issu des pages d'un livre !

Mais comment est-ce possible ?
Un conseil… A partir de là, laissez de côté votre esprit cartésien et laissez-vous porter par la déferlante de courses-poursuites endiablées, de jeux de mots bon enfant, de noms d'oiseaux en tous genres…jusqu'à l'épilogue et la postface.
Sachez juste que l'enquête est menée tambour battant par le sympathique Dr Hachett.

Comme dans tout bon polar qui se respecte, dans ce roman, on y trouve les ingrédients de suspense (on suit la piste d'un unique tueur et pourtant il y aurait 77 assassins ? Dans quel but tuerai(en)t-il(s) ? Comment sont choisies les victimes ?), de frisson (les descriptions sont quelque peu sanguinolentes), de drames (Madame Tapabien, confidente de maman Hachett, est morte trépanée ; Sarah, la collègue, devient une créature zombiesque…).

Pour bien apprécier ce roman, il faudrait deux lectures : une première pour le plaisir de lire un polar noir, déjanté, joyeusement effrayant, et une deuxième pour lire entre les lignes, car mine de rien, Henri Duboc donne quelques coups de griffe…de chat (les matous sont importants dans l'histoire) et égratigne au passage l'entre-soi des grandes maisons d'édition, le manque de moyens des hôpitaux publics (voir le passage sur les nappes jaunes !), le système très hiérarchisé dans le milieu médical, la compétition qui sévit entre l'INSP et l'IMJ, l'information-spectacle orchestrée par certains media, l'emprise exercée par les ordinateurs et les sociétés hyper-connectées…

Et puis, Henri Duboc rend hommage à l'un des fleurons de l'architecture française. En effet, la forteresse de Fougères, plus grande forteresse médiévale d'Europe, belle construction aux marches de la Bretagne, vieille de 400 ans d'histoire, sera le théâtre de l'acmé de ce roman.


Pour finir, je vous livre le secret de fabrication de ce polar : dans ses remerciements faisant office d'avant-propos, l'auteur a tenu à remercier son colon et sa vessie qui l'ont cloué sur un lit d'hôpital, à un moment de sa vie. Ainsi, pour tuer le temps, Henri Duboc a donc eu le loisir de coucher sur papier le fruit de son imagination, fruit fantastico-loufoque mûri à l'aune de sa médication aux effets apparemment hallucinogènes.

Et un dernier petit mot sur le joli travail de graphisme de la couverture et le clin d'oeil sur la signature Henri Duboc/Damien Hachett.

Nota bene :
INSP : Institut National des Sciences Policières
IMJ : Insitut Médico-Judiciaire
Commenter  J’apprécie          00
77 assassins est écrit au présent, chose que j'apprécie rarement. Je n'ai pas perçu cela comme une facilité cependant, car cela va bien avec le style de l'ensemble. Nous sommes dans la confidence de Damien Hachett... une confidence haute en couleur ! Qui dit légiste dit cadavres et détails quelque peu... dégoulinants parfois !

L'humour noir est au rendez-vous (cela tombe bien, j'adore ça). le narrateur ne se prend pas au sérieux et a conscience que ses jeux de mots ne sont pas toujours au niveau, soit dit en passant. Il se pose en commentateur : beaucoup de phrases expéditives, parfois sans verbe, accompagnent le récit, un peu comme une glose persiflante.

Avec le grand nombre de dialogues, le style est très oral. Il transparaît dans les différentes manières de parler des personnages qui tournent à la caricature (avec des accents, par exemple). C'est clairement choisi, aussi n'est-ce pas ici une critique. En revanche, l'usage abusif des majuscules est parfois difficile à digérer.

Quant à l'enquête et ses ressorts fantastiques... Certaines ficelles sont assez simples (voire trop) ; de manière générale, on se laisse assez facilement entraîner dans l'intrigue, mais cela dépend du bon vouloir du lecteur. Celui qui désirerait une intrigue plus exigeante sera déçu. Dans tous les cas, l'ensemble est déjanté et j'ai pris plaisir à lire 77 Assassins.

Malgré l'humour, certaines scènes restent véritablement horrifiantes (ce n'est pas une critique là non plus) – attention aux âmes sensibles.
Commenter  J’apprécie          10
Vous qui cherchez un simple thriller fantastique, passez votre chemin. Ici vous ne trouverez guère de meurtriers classiques, de policiers habituels ni même une histoire entendue. Il vous faudra bien du courage pour lire l'intégralité de chaque phrase car ce sera une grande épreuve pour votre contenu stomacale. Courage, l'inconnu vous attend. le dégoût aussi, forcément, mais aussi le rire et la curiosité.
L'auteur folding qui a écrit ce roman l'a bien écrit ! Peut-être trouverez-vous l'humour trop lourd, les jeux de mots trop envahissants et les dialogues exaspérants d'insultes. Peut-être que vous trouverez les scènes de boucherie horribles à en vomir (c'est dire le talent de l'auteur), parce que - comme moi - vous pensiez trouver quelques scènes "gores mais sans plus". Et malgré votre ventre retourné, vous aurez envie de connaitre la fin. Alors vous essaierez de lire les dernières pages et uniquement les dernières parce que vous voulez savoir ! Mais même ça vous ne pourrez pas. Non. Vous voulez et vous lirait ce livre en entier tant votre curiosité sera forte et insatiable.
Bienvenue dans un Objet Littéraire Non Identifié. Votre estomac n'est pas prêt !
Commenter  J’apprécie          00
77 assassins… quel joli titre. Encore plus pour les Belges, car septante-sept assassins sonne mieux que soixante-dix-sept assassins ! 😊


Henri Duboc
est médecin, chercheur à l'INSERM (Institut de recherche médicale), maitre de conférence et il a aussi fait les sciences po. En plus, il a une imagination débordante et un sens de l'humour qui ne le lâchent jamais. Il est donc l'homme idéal pour nous avoir écrit ce roman inhabituel.
Quand on sait que cet auteur médecin-sciences po a mis quatre ans pour écrire 77 assassins, on se rend compte que le texte a été bien travaillé, il a eu le temps de décanter et de devenir meilleur avec l'âge.
Le résultat est un petit bijou malséant.

Pour moi, ce bijou est avant tout le reste un livre d'humour. Il y a de l'horreur humoristique, du fantastique humoristique, de l'impertinence humoristique et même de l'humour tellement déjanté qu'il en devient humoristique.


Dynamisme, suspense, intrigue géniale
Quel style dynamique ! Henri Duboc nous entraine d''une scène loufoque vers l'autre, d'un évènement horrible vers l'autre, l'humour déborde des pages, le style est tellement dynamique qu'on en devient tout énergique soi-même, le suspense et le mystère de l'intrigue sont si grands qu'on veut savoir, et lire, lire… mais sans terminer le livre, pour autant.
L'auteur a aussi très bien équilibré les scènes d'horreur. Juste au moment où je croyais en avoir assez vu… l'approche a fondamentalement changé. J'ai adoré la première moitié, mais comme j'ai joui de la deuxième moitié du livre (tout aussi horrible et amusante, n'ayez crainte... enfin... ) aussi ! Y inclus la résolution, qui est géniale. L'imagination d'Henri Duboc déborde vraiment d'idées, il nous livre des surprises de la première jusqu'à la toute dernière page, à chaque paragraphe.
Dans tout cela il ne faut pas oublier de mentionner que le style, les mots choisis, gores mais aussi pas gores, malgré l'intrigue étonnante, sont très beaux. C'est de la littérature, de la vraie !


L'intrigue
77 assassins se déroule souvent dans les milieux de la médecine (médecins légistes et médecine viscérale… ). L'auteur a imaginé un mystère plein de suspense. Il s'est complètement laissé aller pour la forme, il s'est permis toutes les libertés, des exagérations loufoques, des scènes pas possibles mais pourtant vraies (dans le livre), des impertinences, des jeux de mots. En faisant cela, il nous délivre de toutes idées bien pensantes et ça fait du bien.
A part le monde de la médecine, il y a aussi plein d'autres mondes et de personnages : la police, le monde de l'édition, les médias, les journalistes, les téléspectateurs, un petit village rural, un curé et, au fond, tous les gens.


L'humour
Une des formes d'humour utilisées est la satire. Comme l'auteur se fout de tout le monde, c'est, comme il dit, « l'égalité dans la satire ».
Il y a d'autres formes d'humour. L'humour de l'effroyable, du plus qu'impensable qui devient vrai, l'humour « normal », celui de la chance ou de la malchance, des choses de la vie qui se mêlent à ces situations terribles et terriblement amusantes, les jeux de mots, qui aident les personnages à faire face dans ces circonstances effroyables, inimaginables.


Frissons chaleureux
Je suis une lectrice sensible. Pas de thrillers ou romans d'horreur pour moi, sinon, cauchemars. Pourtant, dans ce livre, le mot horreur est à sa place. Mais ici, je n'ai eu ni peur ni cauchemar.
D'abord, l'humour et l'intrigue étaient irrésistibles. Mais en plus, le personnage principal et certaines personnes qui l'entourent sont de bonne foi. Ils sont gentils, honnêtes, humains, ils font tout leur possible pour tâcher de résoudre cette horrible et fantastique affaire mystérieuse. Je pouvais rire, car il y avait de l'humour, et j'aimais le personnage principal (Damien Hachett) et quelques personnages secondaires.


Post face, post farce ?
J'étais arrivée à la postface du livre quand je devais me rendre à l'hôpital pour un examen de routine. Quelle était ma surprise lorsque j'ai découvert qu'à cet étage, il y avait uniquement le service où je devais me rendre et… la médecine viscérale, consultations et chirurgie… et c'est bien là que j'ai dévoré le livre jusqu'à la dernière page.


(Merci à Babelio Masse Critique et aux éditions Beta Publisher de m'avoir envoyé un exemplaire du livre en échange d'une critique.)
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (70) Voir plus



Quiz Voir plus

Compléter les titres

Orgueil et ..., de Jane Austen ?

Modestie
Vantardise
Innocence
Préjugé

10 questions
20358 lecteurs ont répondu
Thèmes : humourCréer un quiz sur ce livre

{* *}