Ma phase Dubois se prolonge avec
Kennedy et moi, où notre homme tourmenté, cette fois-ci ce n'est pas Paul mais Samuel, écrivain, et sa femme, Anna, orthophoniste (est-elle un double de celle déjà aperçue dans les précédents romans?) nous offrent leur point de vue sur la famille, le mariage et le travail. Leurs enfants, Sarah et les jumeaux (ici encore un parallèle avec
le cas Sneijder) évoluent autour d'eux sans trop jamais s'impliquer, si ce n'est pour imposer leurs vues ou critiquer. C'est toujours savoureux, donnant vers la satire, pimenté d'humour et les pages défilent sans trop se prendre la tête. J'ai tout de même eu au début l'impression d'un déjà vu, mais très habilement, l'auteur prend une autre direction et nous entraîne dans son récit aux rebondissements inattendus.
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