En 1906, Benoît Broutchoux était un tantinet facétieux.
Après la catastrophe de Courrières (1200 morts!), il trouvait que parfois, les patrons étaient sacrement gonflés et limite méprisants, les actionnaires rapaces, cupides et pour le moins pas très sérieux, les politiques un peu bandits, si ce n'est infréquentables. (C'est une histoire vieille d'un siècle et les choses ont dû certainement changer.)
Donc, au lieu de négocier, puis de r...
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