Citations sur La Bible de Jérusalem (69)
A la source de la charité.
Bien-aimés
aimons-nous les uns les autres,
puisque l'amour est de Dieu
et que quiconque aime
est né de Dieu et connaît Dieu.
Celui qui n'aime pas n'a pas connu Dieu.
car Dieu est Amour.
Première épître de Saint Jean
Mon commandement, le voici: Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés
Au bord des fleuves de Babylone
nous étions assis et nous pleurions,
nous souvenant de Sion ;
aux peupliers d'alentour
nous avions pendu nos harpes.
Et c'est là qu'ils nous demandèrent,
nos geôliers, des cantiques,
nos ravisseurs, de la joie :
« Chantez-nous, disaient-ils,
un cantique de Sion. »
Comment chanterions-nous
un cantique de Yahvé
sur une terre étrangère ?
Si je t'oublie, Jérusalem,
que ma droite se dessèche !
Que ma langue s'attache à mon palais
si je perds ton souvenir,
si je ne mets Jérusalem
au plus haut de ma joie
Psaume 137
En vérité je vous le dis,
vous me cherchez,
non pas parce que vous avez vu des signes,
mais parce que vous avez mangé du pain et avez été rassasiés.
(L'évangile selon Saint Jean)
Isaïe
1, 11-12
Contre l'hypocrisie
Que m'importent vos innombrables sacrifices, dit Yahvé.
Je suis rassasié des holocaustes de béliers et de la graisse des veaux : au sang des taureaux, des agneaux et des boucs, je ne prends pas plaisir.
Le peuple poussa le cri de guerre et l'on sonna de la trompe. Quand il entendit le son de la trompe, le peuple poussa un grand cri de guerre, et le rempart s'écroula sur place. Aussitôt le peuple monta vers la ville, chacun devant soi, et ils s'emparèrent de la ville.
Ils dévouèrent à l'anathème tout ce qui se trouvait dans la ville, hommes et femmes, jeunes et vieux, jusqu'aux taureaux, aux moutons et aux ânes, les passant au fil de l'épée.
Josué, 6 30
Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent.
Matthieu 7.13.
Au moment que le soleil se levait sur la terre et que Loth entrait à Çoar, Yahvé fit pleuvoir sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu venant de Yahvé, et il renversa ces villes et toute la Plaine, avec tous les habitants de ces villes et la végétation du sol. Or la femme de Loth regarda en arrière, et elle devint une colonne de sel.
Genèse, ch. 19
Il arriva aussi que sept frères ayant été arrêtés avec leur mère, le roi voulut les contraindre, en leur infligeant les fouets et les nerfs de bœuf, à toucher à la viande de porc (interdite par la Loi). L'un d'eux se faisant leur porte-parole : « Que vas-tu, dit-il, demander et apprendre de nous ? Nous sommes prêts à mourir plutôt que d'enfreindre les lois de nos pères. » Le roi, hors de lui, fit mettre sur le feu des poêles et des chaudrons. Sitôt qu'ils furent brûlants, il ordonna de couper la langue à celui qui avait été leur porte-parole, de lui enlever la peau de la tête et de lui trancher les extrémités, sous les yeux de ses autres frères et de sa mère. Lorsqu'il fut complètement impotent, il commanda de l'approcher du feu, respirant encore, et de le faire passer à la poêle. Tandis que la vapeur de la poêle se répandait au loin, les autres s'exhortaient mutuellement avec leur mère à mourir avec vaillance : « Le seigneur voit, disaient-ils, et il a en vérité compassion de nous selon que Moïse l'a annoncé par le cantique qui proteste ouvertement en ces termes : « Et il aura pitié de ses serviteurs. »
2e livre des Maccabées, ch7
Qu'est-ce que l'homme pour que tu fasses tant de cas de lui, pour que tu lui portes tant d'attention, pour que tu le visites tous les matins, pour que tu le mettes à l'épreuve à chaque instant ?
Livre de Job 7, 17