Citations sur Le Maître Philippe, de Lyon. Thaumaturge et 'Homme de D.. (14)
Faites le Bien, mais il ne faut pas le faire de façon que tout le monde le sache. Si un laboureur sème des graines, il doit les recouvrir de terre pour les faire germer.
Avec son charme et le torrent d’effluves magnétiques qu’il projetait hors de lui, il
pouvait tenter sur des sujets accessibles tous les redressements de volonté, imposer les plus sévères disciplines, morigéner ou absoudre avec une autorité que nul autre homme n’aurait été à même d’acquérir. Il était de la race des Cagliostro et des Vintras, de ceux qui engendrent la foi, la foi qui soulève les montagnes !
Je reconnais parfaitement que de tous les maux que j’ai je mériterais beaucoup plus.Je voudrais mieux faire ; chaque fois que je me suis promis cela, je n’ai pas tenu. Je vous demande, mon cher Maître, votre aide et votre protection pour que je puisse améliorer ce mal qui est en moi. C’est l’orgueil, la paresse, la gourmandise ainsi que les autres péchés capitaux.
Nous sommes toujours responsables car nous devons toujours réfléchir avant d’accomplir un acte.
L’Homme vient au monde avec le bien et le mal. C’est à lui de voir de quel côté il veut aller. Mais, en tout cas, il vaut mieux qu’il aille au mal que de rester ce que l’Ecriture appelle « tiède » parce qu’en ce cas il sera vomi par le Ciel comme inutile. Par contre, s’il va vers le mal, il en fera beaucoup, deviendra fort, ce qui sera ultérieurement d’un grand secours lorsqu’il reviendra au bien. Car il faudra qu’il revienne, Dieu n’ayant pas marchandé le temps nécessaire. Il aura alors plus d’énergie pour accomplir sa tâche.
Nous devons avoir encore deux guerres et trois révolutions (1904)
Distinctions honorifiques :
Si un prince vous donne une DECORATION, portez la pour ne pas lui faire de peine; c'est un hochet que l'on déposera une fois chez soi.
Mieux vaudrait qu'il n'y en eu pas.
Déjà, certains pouvoirs s’étaient manifestés en lui. C’est ce qu’a précisé M. Schewoebel dans l’article consacré au « Mage Philippe » par le Mercure de France du 16 juin 1918 où il a rapporté les paroles suivantes de M. Philippe : « J’ignore tout de moi, je n’ai jamais compris ni cherché à m’expliquer mon mystère. J’avais six ans à peine et déjà le curé de mon village s’inquiétait de certaines manifestations, dont je n’avais pas conscience… J’obtenais des guérisons dès l’âge de 13 ans, alors que j’étais encore incapable de me rendre compte des choses étranges qui s’opéraient en moi ».
Il ne faut pas oublier que, sur terre, a donc précisé Papus, nous sommes tous des démons. Aussi quand un homme fait un peu de bien autour de lui, le Ciel lui en est très reconnaissant et il se met à son entière disposition. Demandez sincèrement la guérison des êtres malheureux et vous l’obtiendrez.
Qu’on la prenne comme une légende ou comme une réalité, peu importe ! La parcelle d’or que renferme cette gangue est assez brillante pour éclairer les coeurs capables de comprendre.