C'est de mieux en mieux. Il y a une progression dans les romans de
Kjell Eriksson et il est preferable de ne commencer à le lire qu'avec
la princesse du burundi car les personnages auparavant ne sont pas assez attachants.
Comme d'habitude, c'est plutot lent et on a une montée en puissance entre les soliloques de la victime/coupable et les déboires sentimentales d'Ann Lindell. Mais c'est bien foutu et on y prend gout.
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