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J'ai vraiment ramé avec ce roman policier, à au moins trois reprises j'ai failli l'abandonner. Dès le début j'ai confondu les personnages, il faut dire qu'en Suède, il y a pas mal de prénom d'hommes du genre Olla, Asa, etc...et du coup, je ne savais jamais s'il s'agissait d'hommes ou de femmes.
L'enquête policière est très très lente, un corps est découvert mais pendant des jours et des jours, il ne se passe rien, pas d'indices, pas de révélations sur la victime, pas de coup de théâtre.
Ce roman est le cinquième de l'auteur et je pense donc que le fait de n'avoir pas suivi les aventures précédentes m'a pénalisé dans le sens où je n'ai eu aucune empathie pour les personnages qui, il faut bien le dire, sont tous tristes, pas au mieux de leur forme, voire même carrément au bout du rouleau pour certain.
J'ai été au bout du roman histoire de connaître le fin mot de l'enquête mais franchement, je ne suis pas certaine que ça en valait bien le coup finalement.
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Après la déception du le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, j'ai, de nouveau, essayé de lire un roman nordique afin de ne pas rester sur une mauvaise impression, mais, je me rends compte que la littérature scandinave n'ait vraiment pas ma tasse de thé.

En effet, le style est plat, l'intrigue molle, sans grand intérêt, et, surtout ennuyeuse au possible.

En ce qui me concerne, je préfère de loin la littérature français, anglo saxonne ainsi que certains auteurs de langue espagnol comme par exemple Eduardo Mendoza, Carlos Ruiz Zafon, etc.
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Suite des aventures de l'inspecteur Ann Lindell , la cinquième que je lis avec toujours autant de plaisir. Mais attention, ici il faut savoir prendre son temps pour apprécier l'histoire savamment distillée par notre auteur.

Mais que nous raconte « Les cruelles étoiles de la nuit »
Un spécialiste de Pétrarque disparaît, deux agriculteurs sont tués à l'aide d'une clé à molette. L'inspecteur Ann Lindell patauge jusqu'à ce qu'un parallèle audacieux soit établi avec une célèbre partie d'échecs dans laquelle un cavalier et deux fous attaquent la dame blanche. Si les fous sont les paysans et le cavalier le professeur, qui sera la dame blanche
Kjell Eriksson recrée avec minutie l'atmosphère de la campagne suédoise pour un nouveau genre de polar nordique, un polar rural
C'est un reportage qu'il réalise sur la vie d'agriculteur qui amène Kjell Eriksson à troquer le sécateur contre la plume. Son personnage principal récurrent, Ann Lindell, mène l'enquête dans la campagne suédoise. Ici Lindell prend de l'épaisseur, de la stature. Elle a maintenant, à l'instar de ses pair l'inspecteur Kurt Wallander ou encore de Martin Beck, la crédibilité des vrais héros de polars.
« Les cruelles étoiles de la nuit » est aussi un polar social comme les Nordiques savent les ficeler.
Et c'est un ce beau roman d'ambiance ne fait pas dans l'esbroufe avec son rythme lent et son écriture sobre et sensible. Ses personnages sont fouillés jusque dans leurs failles les plus profondes. Son intrigue est soignée. Bref une très belle lecture.

Et comme il s'agit d'une série, il y a encore quelques titres pour se faire plaisir.


Lien : https://collectifpolar.com/
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C'est de mieux en mieux. Il y a une progression dans les romans de Kjell Eriksson et il est preferable de ne commencer à le lire qu'avec la princesse du burundi car les personnages auparavant ne sont pas assez attachants.
Comme d'habitude, c'est plutot lent et on a une montée en puissance entre les soliloques de la victime/coupable et les déboires sentimentales d'Ann Lindell. Mais c'est bien foutu et on y prend gout.
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C'est une nouvelle enquête d'Ann Lindell, à Uppsala, avec dès le début une situation peu banale. Un homme écrit une lettre d'adieu ayant l'intention de mettre fin à ses jours. Il est retrouvé mort. Mais il a été tué de plusieurs coups portés à la nuque, dans son étable. Pourquoi tuer un vieil homme qui voulait se suicider? Pour le cambrioler? Mais rien n'a été volé. Dans le même temps, un autre homme, Ulrik, a disparu. Sa fille, Laura, a signalé sa disparition à la police.
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Dès le début du récit, on réalise qu'on a du mal à accrocher à ce texte fait de nombreuses digressions peu intéressantes sur la vie personnelle - passée ou présente - des protagonistes. L'auteur nous envahit avec sa logorrhée. On saute des paragraphes, pressé qu'on est d'entrer dans le vif du sujet. Puis on tourne les pages en y jetant juste un coup d'oeil. "Qu'est-ce que je fais là?" se demande Laura page 64, et moi aussi je me demande "qu'est-ce que je fais là" alors qu'aucune enquête n'a encore commencé. La force d'un roman policier est justement de créer une tension qui fait qu'on ne peut pas lâcher le texte. L'auteur peut alors aborder tous les sujets qu'il veut, mais il ne doit pas laisser se relâcher cette tension. Ici, on s'éparpille, on flâne, on s'égare.
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Page 91, l'enquête débute. Mais un nouveau meurtre survient. Y a-t-il un lien entre les deux meurtres? L'espoir renait. Mais on repart sur Pétrarque, les amours troubles de Stig et de Laura, les pommes blettes qui tombent et les feuilles mortes qui virevoltent. Page 145 "aucune piste sérieuse". Mais on assiste aux amours tourmentées d'Ann Lindell et de Morgansson. Page 166 "les deux affaires sont en train de sombrer dans l'oubli". Puis soudain, on ne compte plus les cadavres et on s'interroge à propos d'une célèbre partie d'échecs. Page 212 : "on patauge, commenta Haver". Enfin page 293, Ann Lindell s'écrie : "On tient le bon bout". Méthode Coué, car à ce moment-là, elle n'a rien de concret. Plus que 88 pages. Mais ce sont les meilleures du récit. Au final, je n'ai pas vu d'étoiles dans la nuit, mais pourtant, elles sont bien là page 380.
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Je souscris complètement à la critique de LePamplemousse mais j'ai été moins persévérante et ai laissé tomber...
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Plusieurs hommes sont tués dans la campagne suédoise pourtant si paisible. Des gens a priori sans histoire et sans lien entre eux. Ann Lindell enquête et peu à peu la brume se dissipe.
J'ai bien aimé cette intrigue même si le déroulement est un peu lent. Les personnages sont attachants et réalistes. Je n'apprécie pas trop les « enquêteurs » trop caricaturaux.
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Uppsala, automne 2004. Ann Lidell enquête sur les morts violentes de trois hommes, assommés par violents coups portés à la tête. Laura vient signaler la disparition de son père.
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Pour la première fois, je n'ai pas terminé un roman venant directement de la maison-mère des polars, la Suède.
Aucun rythme, les personnages sont détestables, lire les descriptions m'agaçait... Je n'ai malheureusement rien trouvé de bien en le fermant au milieu. Etais-je dans un mauvais jour ? Ou alors, Kjell Eriksson et moi ne sommes-nous pas compatibles ?
Lien : http://bmds.ch/index.php/aut..
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Folie. Pas mal
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