On feuillette le
JOURNAL DU DEHORS, comme si nous feuilletions un album photos. Sauf qu'ici les mots remplacent les images, ou plutôt les mots créent les images. Souvenir universels qui ne peuvent que nous toucher, nous déconcerter, car ces scènettes vécues par l'auteure sont les mêmes pour tous. Nous ne formons plus qu'un et
Annie Ernaux en est la fédératrice.
Commenter  J’apprécie         150