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Critique de saomalgar
Ce roman est une autofiction, retraçant la COVID dont a été atteint l'écrivain.
Maxence Fermine partage avec délicatesse, poésie mais aussi une grand violence parfois, les étapes de la maladie par lesquelles il est passé. Souvent croyant mourir et renaissant miraculeusement, il relate, à la manière d'un conte, les attaques incessantes et fulgurantes de ces guêpes tueuses fichées dans son organisme.
C'est un tragique témoignage d'une actualité qu'on ne connait que trop bien.
Un récit témoignage nécessaire pour le passage de témoin au futur qui, on le souhaite, nous verra rapidement libérés de ce fléau.
Si j'ai aimé, comme d'habitude, l'écriture de Maxence Fermine, j'aurais tout de même préféré un récit frictionnel dont il a l'habitude et qui nous embarque vers un monde féerique et poétique.
Maxence Fermine partage avec délicatesse, poésie mais aussi une grand violence parfois, les étapes de la maladie par lesquelles il est passé. Souvent croyant mourir et renaissant miraculeusement, il relate, à la manière d'un conte, les attaques incessantes et fulgurantes de ces guêpes tueuses fichées dans son organisme.
C'est un tragique témoignage d'une actualité qu'on ne connait que trop bien.
Un récit témoignage nécessaire pour le passage de témoin au futur qui, on le souhaite, nous verra rapidement libérés de ce fléau.
Si j'ai aimé, comme d'habitude, l'écriture de Maxence Fermine, j'aurais tout de même préféré un récit frictionnel dont il a l'habitude et qui nous embarque vers un monde féerique et poétique.
