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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
✨Ce que j'ai ressenti:

« Je suis restée pendant des jours la tete entre les mains à me demander comment on faisait pour être une mère. »

Je ne suis pas sûre qu'on puisse vraiment le prévoir, l'anticiper, le saisir, avant de le vivre…Être mère. Être mère, c'est violent, exaltant, puissant, étrange, révélateur, apaisant, mais tout cela dans le même temps. C'est beaucoup trop fort pour qu'on puisse le décrire, parce que la seconde d'après, on est déjà sur une autre dynamique…Etre mère, c'est aller au-delà de ses propres limites, les dépasser, les réinventer, les retracer pour la seule et unique raison, son enfant. Parce que je suis mère, et que je sais les trésors de patience et d'amour qu'il faut déployer pour cela. Les larmes, le mal-être, les cauchemars, les insomnies, les trop-pleins. de joies, de colères, de bisous, de souffrances, de tendresses, d'impatiences. Chaque jour, il faut les gérer, les envelopper, les adoucir. Être mère, ce n'est pas de tout repos, on apprend chaque jour à le devenir, en symbiose avec son enfant. C'est lui ou elle, qui nous apprend à l'être, c'est nous qui le devenons en prouvant chaque instant notre persévérance à l'être…

Alors La mère d'Eva ne déroge pas à cette règle, elle défiera tout. Tout par amour. Si jamais elle avait un doute, en lisant ce témoignage, on peut aisément s'en convaincre…Elle est mère. Elle est mère, protectrice, maladroite, entière, aimante, colère, dévastée, surpuissante, faillible, inquiète, parfaitement imparfaite pour Eva. Avec Eva. Contre ou tout contre, mais toujours attentive à son bien-être. Elle est mère, dans tous ses temps d'hésitations, de doutes, de joies, de câlins, de bienveillance, de combats. Malgré la souffrance.

La souffrance d'Eva. Elle s'appelle dysphorie de genre, cette souffrance, et de part et d'autres, elle fait mal. Un mal insaisissable mais dévorant pour la mère comme pour la fille. Un mal-être qui vient peu à peu faire éclater la relation. Un mal intérieur qu'elles nous confient. L'une et l'autre, devant le gouffre. Juste avant le grand saut…

Ce fût un foudroiement. Cette lecture ne laisse pas indemne.

Parce qu'être mère, c'est parfois, aller jusque là. Mais on ne le sait pas toujours, on ne peut pas vraiment s'y préparer….Et cette nouvelle terre extrême, c'est comme un nouveau compte à zéro, un autre défi, une exigence immense…Peu de personnes peuvent le faire, ont le courage d'aller fouler cette terre inconnue, cet extrême déchirant. À moins d'être mère. D'avoir assez de forces, d'amour, de lâcher-prise, de tolérance, de bonté, de compréhension. Seule l'amour d'une mère peut dépasser ça, peut aller jusque là.

Parce que je vous le dis en tant que mère, cet amour-là, celui d'une mère pour son enfant, est infini. Il n'a pas de limites, de frontières, de genres ou de conditions. Il est puissant. Tout-puissant. Il nous pousse à surmonter Tout.

La mère d'Eva c'est un des combats que peut avoir à mener une femme. La mère d'Eva c'est une lecture retentissante. Deux cris de douleurs mêlés. Un foudroiement. Je n'ai pas pu m'y préparer, je l'ai juste laisser faire, et j'ai admiré l'amour d'une mère. Ca m'a fait un éclair dans le coeur. La mère d'Eva c'est nouvelle ère qu'elle accepte d'embrasser, tout simplement, tout-puissamment. Parce qu'elle est mère…La mère d'Eva.

« Je t'ai laissé être ce que tu voulais. Je suis restée sur la rive à te regarder. »


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Deuxième roman de cette rentrée littéraire lu sur le sujet de la dysphorie du genre mais raconté par un proche. Sur l'idée de départ, il y a sans conteste des similitudes, hasard du calendrier! Pour autant le cri d'amour d'une mère a une résonnance différente. La mère d'Eva attend, attend la naissance d'Alessandro après des années de combat. Elle vient d'une famille de filles, son enfant n'a pas échappé à cette lignée et pourtant très tôt Eva va se démarquer des petites filles.

Pendant ces heures où sa fille se fait "démembrer" cette mère fait une introspection de ces dix-huit dernières années. de l'amour du couple est né une petit fille, un bonheur sans ombre, une relation fusionnelle, où les premiers jours ont été passés dans un cocon à trois puis à deux lorsque le père a repris le travail. S'épanouir dans ce rôle, faire corps avec Eva en la nourrissant, la partie sur l'allaitement m'a vraiment parlé, moi qui allaite toujours ma fille, pouvoir regarder, toucher, sentir ce petit être se nourrir de nous quelle merveilleuse expérience. Les années passent et les premiers signes du mal-être apparaissent. Que faire? le déni? Accepter? Certes mais en espérant que tout rentre dans l'ordre? 

Sylvia Ferreri nous conte l'amour d'une mère, un amour qui fait mal car nous n'engendrons pas nos enfants pour les façonner à notre bon vouloir cependant certains de leur choix peuvent nous être incompréhensibles, mais refuser peut nous éloigner à jamais. Comment supporter voir son enfant au plus mal? Comment l'accompagner sans le trahir? Il n'y a pas de solutions miracles, des erreurs peuvent être commises. Cela remet-il en cause l'amour? Cette mère aime sa fille quoiqu'il advienne, leurs incompréhensions n'en sont que plus difficiles à vivre. Cette introspection est magnifique, elle vibre au plus profond de mon coeur de mère. 

En parallèle, on découvre toute la difficulté de la dysphorie du genre, comprendre, s'accepter, se faire accepter surtout par ceux qu'on aime. Un combat de tous les jours. Toutes ces démarches pour enfin vivre en adéquation avec ce qu'ils sont au plus profond d'eux. le roman relate cela, il me semble avec précision certes avec le regard de la mère mais elle souffre en même temps que sa fille alors leur douleur se fait notre. 

Ce roman est d'une justesse et d'une poésie remarquable, j'ai été bouleversée. Il parle de la vie, des épreuves à surmonter et de l'amour d'une mère pour sa fille, un amour au-delà de tout. Je vous conseille de découvrir ce roman qui pour un premier est une merveille. 
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Gros coup de coeur pour ce roman dont l'auteur nous raconte la position, le ressenti, les colères mais aussi la culpabilité, l'amour d'une mère vis à vis de sa fille qui est un garçon et qui souhaite le devenir physiquement. Une très belle écriture que cette introspection juste et sensible. Je n'ai pas pu lâcher jusqu'à la dernière page. On suit cette mère mais aussi son enfant. Une enfant qui lutte et combat pour être qui il est. Magnifique
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Comment vous parler de ce premier roman tellement bouleversant qu'il m'a laissé muette après avoir tourné les dernières pages ? Comment vous donner envie d'aller à la rencontre de la maman d'Eva, cette mère qui aurait pu être moi ou n'importe quelle autre autre mère ? Comment vous décrire le courage qu'il a fallu à cette femme pour accompagner son enfant "pas comme les autres" ? Cet enfant qui va demander à ses parents de renoncer à la fille qu'ils ont mis au monde.

Au tout début du roman, nous sommes dans une clinique Serbe en compagnie d'Eva et de sa maman. Eva est sur la table d'opération et sa maman dans un couloir, à attendre. Elle laisse vagabonder ses pensées entre passé et présent. Eva est née fille mais elle se sent garçon. Ce décalage (erreur de la nature ?) est une souffrance du quotidien pour l'enfant et pour ses parents. Eva ne peut pas s'épanouir dans ce corps qu'elle ne peut assumer. Son caractère se durcit, ses parents ne savent comment l'aider. le problème de leur fille envahit l'espace et ne laisse aucun répit à ce couple qui n'en est plus un. Et puis il y a le regard des autres qu'il faut supporter mais de moins en moins parce que la seule solution trouvée pour y faire face est l'isolement.

De l'amour, il y en a mais il ne se manifeste pas comme dans les foyers "normaux". Aimer Eva, est-ce l'aider à s'accepter telle qu'elle est ou faut-il l'accompagner à devenir l'homme qu'elle croit fermement être ? Cette question obsède la mère d'Eva, nuit et jour. Et ce n'est qu'au terme d'un long parcours jalonné de rendez-vous avec des "psy", des médecins, un juge mais surtout avec sa propre conscience que la mère d'Eva parviendra à mettre au monde son enfant une seconde fois.

La mère d'Eva est un livre magnifique que je vous encourage à lire. Aucun pathos, aucun voyeurisme mais un texte pudique qui sonne juste. L'originalité du roman tient au fait qu'il nous est donné de réfléchir à la problématique de l'identité de genre avec les yeux des parents et notamment de la mère. C'est un roman qui, plus largement, fait réfléchir à au rôle des parents dans le développement des enfants.


Un premier roman bouleversant !
Lien : http://www.sylire.com/2020/0..
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Poignant

Comment vous parler de ce roman ?
Roman qui résonne comme un témoignage et que dire à quelqu'un qui te raconte sa douleur ?

J'ai pris une petite claque. J'étais là, à écouter la mère d'Eva me raconter son histoire, vivant avec elle des émotions violentes, à n'avoir pas plus de réponse qu'elle... Être maman c'est grandir avec son enfant, c'est avoir des angoisses qu'on ne pensait jamais avoir, c'est relever des défis dont on ne se croyait pas capable.
La mère d'Eva pourrait être n'importe laquelle d'entre nous...
Une femme pleine d'humanité, qui fait des erreurs, qui se rattrape, qui aime son enfant au-delà de tout.
Une maman...

La mère d'Eva est dans le couloir d'une clinique serbe. Elle est venue accompagner sa fille qui se fait opérer pour devenir ce qu'au fond d'elle elle a toujours été : un homme.
Elle lui parle, d'hier et d'aujourd'hui, et nous recevons ses mots comme un cadeau, sans voyeurisme aucun.

Le transgenre est souvent raconté par celui qui souffre d'être dans le mauvais corps.
Ici nous découvrons ceux qui entourent et en particulier cette maman. Qui souffre, qui culpabilise, qui aime férocement.

Parfois je n'ai pas compris cette maman, parfois je l'ai détestée, parfois j'ai voulu la serrer dans mes bras, parfois je l'ai trouvée extraordinaire...
Un être profondément humain, qui fait comme elle peut au moment où les évènements se présentent en somme.

J'ai lu ce roman comme on reçoit une confidence.
Difficile de dire donc si j'ai aimé ou non ce roman.
Parce que la plume a rendu ce roman réaliste. On ne juge pas un témoignage...
Mais si j'y ai cru c'est que ce roman est donc très bien écrit.

On devine la souffrance d'Eva mais on entre dans la tête de sa mère qui nous raconte son rapport à sa fille, de sa grossesse jusqu'au jour de l'opération.
Quand on est maman il y a des mots qui résonnent.

L'amour inconditionnel d'une mère, on connaît ça...

Un beau roman de tolérance et d'amour parental.
Un roman qui laissera sa trace ici je crois...

Il sort le 25 juin en librairie.
Lien : https://demoisellesdechatill..
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Dans la salle d'attente d'une clinique privée, une mère parle à sa fille, qui inconsciente sous les mains de chirurgiens se fait poser un sexe d'homme et enlever les seins. Un texte d'une étrange beauté, ce récit de Silvia Ferreri est une plongée dans les méandres d'une famille italienne confrontée à la difficulté du genre.

Leur fille, Eva se sent depuis toujours mieux dans la peau d'un garçon. Cela commence doucement, Eva préfère se déguiser en super-héros qu'en princesse, faire pipi debout et se faire couper les cheveux courts. Si ses parents ne prennent pas cela au sérieux, tout dérape à l'adolescence et l'arrivée des règles. de confrontations en apaisements, Eva pose un ultimatum, à ses 18 ans elle sera un homme. Plus de déguisement, elle veut un pénis et oublier ses seins.

La mère d'Eva raconte tout ce parcours, les rendez-vous avec psychologues, médecins et professeurs. Elle questionne sa propre enfance et s'interroge sur l'avenir. Eva devenue Alessandro sera-t-elle toujours sa fille ou un être totalement neuf et différent ? Pourra-t-elle toujours se dire mère alors que ce qu'elle a créé a été remodelé ?

Un roman d'une puissance troublante, d'un non conformisme évident et une ode à la recherche de soi. le point de vue de la mère de famille donne une autre couleur au récit, un poids sans commune mesure qui nous force à nous interroger nous aussi. Les mots simples apportent ce petit supplément d'authenticité qui font de ce roman un vrai bijou, entre douceur et violence.

Je remercie vivement les éditions HC et Agnès Chalnot pour l'envoi de ce livre.
Lien : https://topobiblioteca.wordp..
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Dans cet-cette enfant qui vient de naître, se cristallisent tous les désirs d'un avenir ensemble, des années durant, les plus longues possible, une entente presque parfaite même si l'on sait qu'un âge sera plus difficile, qu'il faudra composer. On projette, on envisage, parfois on se trompe alors on ajuste, sans gravité, puisque l'on s'aime, si fort, toujours, gommant les angles et s'il le faut, fermant les yeux. Il sera lui/elle et nous ressemblera un peu parce qu'au fond on y a mit du nôtre, un peu de coeur et notre histoire. On le/la regarde presque parfait.e, la peau fine, les organes sans bavure, tout à sa place ; la nature est bien faite. On pourra dormir sur nos deux oreilles…
Mais si la nature se trompait ? Si ce corps que l'on s'est appliqué à concevoir, garçon, fille, n'était pas le bon. Pas le bon sexe. Une erreur.
Eva-Alessandro est ainsi, garçon prisonnier d'un corps de fille. Mauvais sexe, mauvais prénom et l'envie de hurler. Elle doit se faire entendre – de ses parents d'abord, puis des autres. Sa mère raconte. Dans le couloir, près de la salle où tout s'opère, tout en douceur et en violence, tout en pudeur avec audace, elle raconte le couple, la venue de l'enfant, les ans qui passent, les premiers signes de ce qui heurte. La suite. Jusqu'à ce jour. Comment accepter l'évidence ?
Ce roman est absolument bouleversant. Passionnant. Emouvant. Il est l'histoire du deuil d'une mère pour celle qui n'a jamais été fille que dans son imagination, d'acceptation et de tolérance. Il est le récit de l'amour maternel, puissant et inébranlable, malgré le chagrin ; un exemple. Aucun pathos, mais des émotions fortes et réelles, si vraies, sans mensonge. Que de finesse et de tact dans la virulence des mots de cette mère ! Que de beauté !
Un roman COUP DE COeUR porté par une plume magnifique.

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La protagoniste de ce roman est la mère d'Eva. Eva, âgée de dix-huit ans, est actuellement dans un bloc opératoire d'un hôpital serbe. Lorsqu'elle ressortira, elle sera un homme. La mère d'Eva est un récit introspectif dans lequel cette maman revient sur les dix-huit dernières années de sa vie. Si la dysphorie de genre constitue le noyau du roman, il parle surtout de la relation mère-fille et de cet amour indescriptible et incommensurable. Deux sentiments coexistent : l'horreur, le déni, l'incompréhension engendrés par l'opération et l'Amour, celui qui surmonte tellement d'épreuves. Cette thématique, trop rarement abordée, m'a ébranlée. J'ai apprécié cette manière d'aborder le sujet, à travers les yeux d'une mère. Un roman magnifique et poétique à la fois.
Lien : http://romansurcanape.fr/les..
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Une mère qui parle à son enfant étendu dans une salle d'opération. Son enfant inconscient qui a fait un choix en toute conscience. Un choix familial aussi. Un choix qui change un destin. Un choix qui fait peur et réveille les doutes. Est-ce le bon? Et si...?

La mère d'Eva est un cri du Coeur. Un cri de l'âme. Un cri qui fait mal à l'âme et donne vie à l'amour. A l'amour maternel. A l'abnégation parentale voire familiale. A une époque où la question du genre est d'actualité, Eva  nous fait découvrir cette interrogation intime et nous cheminons avec elle à travers cette interrogation.  Une interrogation qu'elle partage avec sa mère dans un discours continu, seulement interrompu par les souvenirs tendres et forts. Un discours profondément humain. Tendrement fort. Un échange d'empathie. de respect de l'autre. D'amour. C'est l'histoire d'une mère qui souffre pour son enfant. Un enfant qui a peur de ce que lui réserve l'avenir. Un avenir que sa mère lui montre avec tendresse. Un avenir rassurant.

La mère d'Eva est un roman d'amour. de force. Un amour entre une mère et son enfant. Une mère qui ira jusqu'au bout d'elle-même pour le bonheur de cet être à qui elle a donné la vie. Cet être avec qui elle partage un amour fusionnel. C'est l'histoire de la construction de cet amour familial qui leur permet à tous d'accepter le choix ultime d'un enfant. Un enfant qui toute sa vie s'est cherché et s'est enfin trouvé au point d'aller jusqu'à l'ultime choix. C'est une histoire profondément belle. Un beau moment de lecture.
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Voici une lecture au thème totalement atypique et peu développé en littérature : la dysphorie de genre, ou quand notre genre sexuel ne correspond pas à celui que l'on ressent au plus profond de nous.

Eva va bientôt avoir 18 ans et veut commencer sa vie d'adulte dans sa nouvelle identité, celle qu'elle ressent véritablement depuis sa tendre enfance, celle d'un garçon. Elle est donc partie en Serbie avec sa mère pour se faire opérer et changer définitivement de sexe.

Ce sont les réflexions de cette mère, qui va passer toutes les heures que durera la transformation assise derrière la porte de la salle d'opération, que nous allons suivre tout au long du roman. Réflexions sur la maternité en général, sur sa propre enfance, sur toutes les étapes qui ont conduit à ce jour, sur son lien mère-fille, sur le deuil de son enfant, sur la famille et l'amour.

Ce roman est tout simplement brillant, il prend aux trippes, on ne peut ressentir qu'une empathie profonde pour cette mère qui voit la chair de sa chair souffrir jour après jour et chercher qui elle est mais qui devra suivre un long cheminement pour accepter le choix radical de son enfant.

Ce roman est un coup de coeur que je ne peux que vous conseiller.
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