"(...) Rien de tranquille là-dedans. Rien d’apaisant. Rien que poison, friction et carambolage. On ne sort jamais indemne du fracas de l’amour. (...)"
(p 13)
"Agitation hypnotique sur scène. Les pieds fracassent la démesure, tempo grossesse, y’a emballement. Sur les planches, Jody catapulte. Une sulfateuse de croches et doubles-croches. Ça tabasse en tout sens. Des noires liées, des triolets. Pas un silence dans le soufflet. Pas ce soir. Ce n’est pas un soir comme les autres. 200 battements à la minute." (p. 8)
"T’es aussi prévisible qu’un morceau de country, Harry."
Mickaël FEUGRAY, Fauché par une nuit conne, 2019, Jazz en Velay (p. 16).
« D’une manière ou d’une autre, l’amour se monnaie toujours » (page 13).
« Nous ne sommes pas faits pour vivre ensemble. L’espèce est solitaire. Il n’y a pas de meutes humaines. Juste des tentatives vouées à l’échec. » (page 13).
« Triste parodie. Les clowns ont plus d’estime de soi. » (page 12).