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Critique de Apikrus
Pascal Fioretto, chroniqueur chez RTL (auteur de textes de l'imitateur Laurent Gerra), pasticheur (imitateur de textes d'écrivains à succès) et, sauf erreur de ma part, écrivain pour le compte d'autrui (« nègre »), a décidé de faire un break dans sa vie professionnelle. Plus question pour lui de chercher à faire rire, au moins le temps de ce récit. Eh bien c'est raté !
En effet, malgré ses propos sérieux, l'humour reste un ingrédient majeur de cet ouvrage.
En décrivant un auteur en panne d'inspiration - lui-même en l'occurrence - Pascal Fioretti s'interroge sur les processus de création littéraire, et nous interpelle sur ce qui fait le succès d'une partie de la littérature contemporaine. le regard sur le monde de l'édition est critique, mais Fioretto ne s'interdit pas d'en profiter.
Fioretti livre aussi une partie de sa personnalité, ne serait-ce que par contraste avec des personnages qu'il décrit (Saturnin en particulier).
Son écriture est agréable, avec quelques formules qui font mouche, à la manière d'un Jean Teulé. La récurrence de la thématique centrale (le peur de la page blanche) a cependant fini par me lasser.
En effet, malgré ses propos sérieux, l'humour reste un ingrédient majeur de cet ouvrage.
En décrivant un auteur en panne d'inspiration - lui-même en l'occurrence - Pascal Fioretti s'interroge sur les processus de création littéraire, et nous interpelle sur ce qui fait le succès d'une partie de la littérature contemporaine. le regard sur le monde de l'édition est critique, mais Fioretto ne s'interdit pas d'en profiter.
Fioretti livre aussi une partie de sa personnalité, ne serait-ce que par contraste avec des personnages qu'il décrit (Saturnin en particulier).
Son écriture est agréable, avec quelques formules qui font mouche, à la manière d'un Jean Teulé. La récurrence de la thématique centrale (le peur de la page blanche) a cependant fini par me lasser.
