Après
Ne les crois pas et
le briseur d'âmes, que j'avais dévoré, je poursuis mon exploration de l'oeuvre de
Sebastian Fitzek avec son premier roman publié :
Thérapie.
L'auteur aborde une nouvelle fois le thème de la folie, en se centrant cette fois sur la schizophrénie. Mais, tout comme dans la réalité, la maladie est tellement nuancée que nous en arrivons à nous interroger : qui est vraiment fou ? Anna est-elle réellement malade ou est-ce le docteur Larenz qui perd la tête ? L'auteur met en place une sorte de jeu du chat et de la souris avec le lecteur, en nous incitant à prêter attention aux moindres détails et en démolissant systématiquement toutes nos hypothèses.
Le texte dégage une certaine tension qui augmente au fil de la lecture et dont on ne se rend réellement compte qu'en refermant le livre. Et si la fin m'a étonnée, j'ai été déçue par le fait que j'avais deviné certains éléments, ce qui a quelque peu gâché ma lecture.
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http://carnetdelecture.skyne.. Commenter  J’apprécie         100