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Critique de Jmolo
"Nos séparations" est mon 4ème David Foenkinos à la suite, et... je ne m'en lasse pas !
Toujours sur le même thème de l'inaptitude au bonheur, mais avec des personnages et un contexte (légèrement) différents, le récit ressemble à s'y méprendre à de l'autobiographie. Et... la mayonnaise prend !
On y retrouve, une fois encore, les incontournables "pneus" d'Amelie Nothomb : John Lennon, Antoine Doinel, Ikéa, Schopenhauer, les tickets restaurant, la Suède, la Suisse et la Pologne (entre autres)...
D'aucuns diront que c'est lassant. Personnellement j'y trouve un côté humoristique et rassurant : même sans connaître le nom de l'auteur, je sais très vite que je lis "du Foenkinos", et c'est tellement rare dans la littérature d'aujourd'hui d'avoir un style reconnaissable !
Alors, même si je ne suis pas, à l'évidence, du même bord politique que Fritz -alias David-, et si je possède, à mon corps défendant, une scandaleuse aptitude au bonheur, je dis banco pour un 5 ème Foenkinos !
Toujours sur le même thème de l'inaptitude au bonheur, mais avec des personnages et un contexte (légèrement) différents, le récit ressemble à s'y méprendre à de l'autobiographie. Et... la mayonnaise prend !
On y retrouve, une fois encore, les incontournables "pneus" d'Amelie Nothomb : John Lennon, Antoine Doinel, Ikéa, Schopenhauer, les tickets restaurant, la Suède, la Suisse et la Pologne (entre autres)...
D'aucuns diront que c'est lassant. Personnellement j'y trouve un côté humoristique et rassurant : même sans connaître le nom de l'auteur, je sais très vite que je lis "du Foenkinos", et c'est tellement rare dans la littérature d'aujourd'hui d'avoir un style reconnaissable !
Alors, même si je ne suis pas, à l'évidence, du même bord politique que Fritz -alias David-, et si je possède, à mon corps défendant, une scandaleuse aptitude au bonheur, je dis banco pour un 5 ème Foenkinos !
