AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de bilodoh


Il y a des livres qui nous plongent dans la noirceur de l'âme humaine, celui-ci nous élève dans la blancheur éthérée de la poésie…

Le roman est la suite de « Les villes de papier », où Dominique Fortier racontait l'histoire de la poétesse américaine Emily Dickinson. Recluse dans la dernière partie de sa vie, Emily écrivait constamment de la poésie, mais n'avait jamais publié ses oeuvres.

« Les ombres blanches » commence à la mort de la poétesse. Sa soeur célibataire qui avait toujours veillé sur elle doit apprendre à vivre avec l'absence, mais doit aussi ouvrir les coffres et les tiroirs pour trouver les lettres et les poèmes. Si Emily lui avait demandé de brûler ses lettres, elle n'avait pas mentionné les poèmes et Lavinia entreprendra d'en faire un livre, avec la collaboration de Mabel, l'amante de son frère et un vieil ami éditeur. On fera connaissance de Millicent, la fille de Mabel, qui se passionnera aussi de la poésie de Dickinson et il sera question du sens de la vie et des livres.

Je m'aperçois que ce bref résumé ne montre pas la beauté de ce roman.

Ce n'est pas un suspens plein de rebondissements. C'est une dentelle de mots, décorée de perles de muguet, au son des trilles de merles…
Commenter  J’apprécie          452



Ont apprécié cette critique (39)voir plus




{* *}