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Critique de fredbologsen
Eh bien, je crois que je vais faire partie du faible pourcentage des lecteurs qui n'ont pas su apprécier -peut-être à sa juste valeur- ce roman d'Eric Fouassier.
Je vais être honnête: j'ai accroché les cent premières pages, et puis je me suis forcé à aller jusqu'au bout....
Je m'attendais à trouver une "ambiance" propre à celle des romans de mon adolescence et qui ont su tant me faire rêver, et je pense aux Rouletabille, Rocambole, Ponson du Terrail, Paul Féval, "Les mystères de Paris" d'Eugène Sue, et sans oublier l'excellent Emile Gaboriau, père du roman policier.
Ici, j'ai trouvé une histoire uniforme, sans réels rebondissements ou alors tellement prévisibles, et côté "occulte" "opaque" "suspens" et autres, on était plutôt dans le "convenu" et "politiquement littérairement correct".
Un style, une écriture un peu trop "carrés", peu propices à faire bouger notre imaginaire, et je mesuis dit que le cursus professionnel de l'auteur y jouait peut-être sa part.
Un suicide auquel une riche famille ne croit pas, suivi d'une autre mort également suspecte quelque temps plus tard, l'ensemble confié au "mystérieux" Valentin Verne, mais , et c'est là mon reproche -un de plus me direz-vous-, Fouassier n'entre pas véritablement dans l'enquête, et nous propose une succession d'évènements: agressions de Verne à plusieurs reprises, son côté pickpoket, son côté "je sais me défendre", à mains nues ou avec une arme, un petit duel au passage, une infiltration des milieux républicains cachés du moment, une petite -peut-être- amourette avec une comédienne du crue, ses liens avec le célèbre Vidocq, (qui à chaque fois tombe à pic!!!), et quelques mystères sur la vie de Valentin Verne, avant qu'il ne devienne inspecteur à la Sureté.
[Il m'a semblé évident que Verne et le garçon Damien, que l'on retrouve de temps en temps, prisonnier du méchant "Vicaire", ogre de ce début du 18 ème siècle, ne font qu'une seule et même personne. Voire plus....(mais je ne veux pas tout spolier) ].
J'ai cependant aimé certaines anecdotes historiques, certains lieux évoqués et leur histoire, certaines petites histoires de la grande Histoire, les avancées et découvertes -médicales, psy de l'époque-, mais là, l'auteur est dans son domaine et s'y trouve à l'aise. Mais elles n'ont pas suffit à me faire aimer ce livre, et je ne lirai pas la suite.
Je tomberai bien sur un lecteur -trice- qui me la révèlera un jour.
Je vais être honnête: j'ai accroché les cent premières pages, et puis je me suis forcé à aller jusqu'au bout....
Je m'attendais à trouver une "ambiance" propre à celle des romans de mon adolescence et qui ont su tant me faire rêver, et je pense aux Rouletabille, Rocambole, Ponson du Terrail, Paul Féval, "Les mystères de Paris" d'Eugène Sue, et sans oublier l'excellent Emile Gaboriau, père du roman policier.
Ici, j'ai trouvé une histoire uniforme, sans réels rebondissements ou alors tellement prévisibles, et côté "occulte" "opaque" "suspens" et autres, on était plutôt dans le "convenu" et "politiquement littérairement correct".
Un style, une écriture un peu trop "carrés", peu propices à faire bouger notre imaginaire, et je mesuis dit que le cursus professionnel de l'auteur y jouait peut-être sa part.
Un suicide auquel une riche famille ne croit pas, suivi d'une autre mort également suspecte quelque temps plus tard, l'ensemble confié au "mystérieux" Valentin Verne, mais , et c'est là mon reproche -un de plus me direz-vous-, Fouassier n'entre pas véritablement dans l'enquête, et nous propose une succession d'évènements: agressions de Verne à plusieurs reprises, son côté pickpoket, son côté "je sais me défendre", à mains nues ou avec une arme, un petit duel au passage, une infiltration des milieux républicains cachés du moment, une petite -peut-être- amourette avec une comédienne du crue, ses liens avec le célèbre Vidocq, (qui à chaque fois tombe à pic!!!), et quelques mystères sur la vie de Valentin Verne, avant qu'il ne devienne inspecteur à la Sureté.
[Il m'a semblé évident que Verne et le garçon Damien, que l'on retrouve de temps en temps, prisonnier du méchant "Vicaire", ogre de ce début du 18 ème siècle, ne font qu'une seule et même personne. Voire plus....(mais je ne veux pas tout spolier) ].
J'ai cependant aimé certaines anecdotes historiques, certains lieux évoqués et leur histoire, certaines petites histoires de la grande Histoire, les avancées et découvertes -médicales, psy de l'époque-, mais là, l'auteur est dans son domaine et s'y trouve à l'aise. Mais elles n'ont pas suffit à me faire aimer ce livre, et je ne lirai pas la suite.
Je tomberai bien sur un lecteur -trice- qui me la révèlera un jour.
