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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Bonjour amis lecteurs,
Je remercie chaleureusement les Éditions D'Avallon pour l'envoi en service presse du livre de Nicolas-Raphaël Fouque : « Même les salauds peuvent aimer » .J'ai beaucoup aimé ce thriller psychologique mêlant histoire d'amour et manipulations sur fond d'espionnage. L'intrigue est captivante, parfaitement maîtrisée et bien documentée.
L'auteur use d'une plume percutante et précise dans les descriptions des personnages. Un très bon moment de lecture!
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Si la batterie de ma liseuse ne m'avait pas lâchée, je n'aurais pas reposé ce roman avant d'avoir tourné la dernière page tant j'avais envie de connaître l'issue de l'histoire !
Et figurez-vous que je n'étais pas au bout de mes surprises car jusqu'à la toute dernière page, l'auteur vous gratifie encore d'un rebondissement...

Même les salauds peuvent aimer est un roman atypique. Cela débute par une rupture amoureuse, Louise est effondrée, Arnaud l'a quittée. Arrive ensuite sous les yeux du lecteur un de ces messages sibyllin et codé comme dans un roman d'espionnage. Et tandis que l'histoire se poursuit autour de Louise, une jeune étudiante en Institut d'études Politiques, régulièrement arrivent des messages du même genre, épaississant le mystère et entretenant forcément un certain suspense. Surtout qu'il ne semble pas y avoir de lien avec le reste de l'histoire...
Pourtant à un moment donné, on apprend de qui Louise est la petite fille et là forcément les choses s'éclairent un peu.

Sur le grand échiquier de la géopolitique, il y a des pièces sacrifiées, et d'autres utilisées à leur insu ou pas. Mais de toutes façons il y a des dommages collatéraux. Ce roman raconte l'histoire d'un de ces dommages collatéraux sur fond de secret de famille, de ventes d'armes, de tractations entre gouvernements et services d'espionnage et jeux de pouvoir entre Moyen Orient et USA. Une bonne dose d'idéalisme préside parfois à certains choix à double tranchant...

Une plume sobre, fluide et très agréable, une construction habile, des chapitres très courts, mon tout est addictif !
Un seul regret: Il est (presque)trop court!!! Je serais volontiers restée plus longtemps en compagnie des personnages, très justes et attachants. Mais l'auteur laisse à l'imagination du lecteur la possibilité d'assembler les toutes dernières pièces du puzzle...
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Louise, une jeune étudiante petite fille d'un magnat de l'armement, vient de se faire larguer par Arnaud. Elle découvre en son nouveau professeur le sosie de son amoureux et petit à petit tombe sur le charme. Tout à l'air tellement parfait pour elle ! Or, chaque chapitre est ponctué par des échanges codés. de quoi s'agit-il ?

J'avais vu passer ce roman et il m'avait intriguée. Les retours parlaient d'une histoire d'amour et de l'espionnage, voire du thriller psychologique. Peut-être tout à la fois ou rien de tout cela. S'il fallait le mettre dans une case, j'inventerai celle du roman d'espionnage humaniste.

Car c'est bien de cela qu'il s'agit. Si vous aimez la littérature d'espionnage, vous savez que les James Bond et consorts, avec des gadgets incroyables et des méchants mégalomanes sont très loin de la réalité. le vrai espionnage est tout simplement de la manipulation des pions dans un échiquier. Comment vivent cette situation les personnes qui subissent cette situation ? Nous avons dans ce roman deux visions intéressantes : une narration du point de vue externe, pour raconter l'histoire, et un point de vue interne, pour suivre Louise. J'ai trouvé que ce mariage fonctionne bien et donne une plus grande profondeur à la scène.

Le style est fluide et agréable, j'ai beaucoup aimé et recommande amplement. Je remercie encore une fois Les éditions d'Avallon, de chez qui j'ai encore une bonne pioche dans ma PAL (Elle voulait vivre dans un tableau de Chagall de Gaëlle Fonlupt.
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Une lecture captivante, happante(ça se dit ???) ,

Un roman que j'ai lu en quelques heures, tellement l'intrigue est captivante, bien ficelée, la subtilité et intelligence de passer d'un récit psychologique vers un récit d'espionnage où les intérêts personnels côtoient ceux des nations, les secrets de familles flirtent avec ceux des Etats et surtout une fin inattendue.



« Même les salauds peuvent aimer » est l'histoire de Louise, une étudiante à l'Institut d'études politiques de Rennes et la petite-fille du plus grand industriel de l'armement français, après une séparation amoureuse, (son amoureux Arnaud l'a quittée sans un mot d'explication) retrouve l'amour auprès de Julien Terreau (professeur de philosophie politique) une vraie copie améliorée de son ex mais voilà une nouvelle dramatique vient basculer le récit d'une histoire d'amour vers un récit d'espionnage . Pour y arriver l'auteur choisit de relater l'intrigue d'un point de vue d'un narrateur externe qui est celui de louise et d'autre part un narrateur omniscient, un narrateur présent qui sait tout, nous décode les faits,des chapitres courts agrémentés de messages codés . Ce choix d'écriture rend la lecture agréable, fluide, captivante (je sais, je l'ai déjà dit mais sûr, ça se lit et ça se dévore en quelques heures) , .coup de coeur.
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Une écriture fluide, une plume efficace, des chapitres courts que j'ai avalés en deux soirées.
Quand on commence ce livre, on a envie de connaître la suite…et on tourne les pages !
Ce thriller mêle une jolie histoire d'amour à de l'espionnage, au pouvoir, aux secrets de famille bien enfouis, tout cela sur un fond de contrats de ventes d'armes et de conflits au Moyen-Orient. Bref un chouette cocktail que j'ai pris plaisir à lire.
Les personnages sont attachants et très réalistes.
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