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Critique de llyza
Cette lecture fait partie du fameux "pourquoi je ne l'ai pas lu avant", j'ai tellement aimé ce roman à la croisée de la fantasy/urban fantasy que je compte bien me faire la suite de la saga fissa !
On rencontre Max, une héroïne ultra badass qui porte franchement bien son nom (la référence qui dépote au passage). Elle est la Prime d'une sorcière, si par le passé j'ai déjà lu le terme de Prime il s'agissait avant tout de magiciens (c'est juste à côté :p), ici il s'agit de la "chef" des "gardes de nuit". Nous avons donc un nouveau folklore avec ces cercles de Sorcières, ses Primes qui gèrent des Lames d'Ombre et des Lances Solaires, des Anciens... et une intrigue qui prend naissance au moment où tout est sur le point de partir en vrille.
Max ne vieillit plus depuis une trentaine d'année, au lieu d'être reconnaissante auprès de son ex-meilleure amie ou devrait-on dire sa sorcière Giselle, elle lui en veut à mort. A un moment donné ça peut agacer d'avoir une héroïne aussi "énervée" mais au fil des rencontres, des embuches elle se révèle être un personnage qui aime sa vie et surtout ceux qui l'accompagne. Ce que je reprocherais à Diana Pharaoh Francis est d'avoir fait un peu trop dans le côté "qui m'aiment me suivent"... ça en devenait un peu trop facile et too much. Surtout, pour la rencontre avec Alexander, un autre Prime. Dommage, ça aurait pu être mieux !
Les personnages secondaires font partie du décor autant que le folklore qu'a inventée l'auteur. Un univers prenant, une intrigue tout juste posée avec ce premier tome qui annonce du lourd pour la suite. Une plume dynamique avec un ton très moderne et les gros mots qui vont bien avec le caractère de Max. Pour les fans d'urban fantasy avec une héroïne qui envoie dés le début et qui n'a pas peur du sacrifice pour ses convictions. Bref, j'ai adoré !
On rencontre Max, une héroïne ultra badass qui porte franchement bien son nom (la référence qui dépote au passage). Elle est la Prime d'une sorcière, si par le passé j'ai déjà lu le terme de Prime il s'agissait avant tout de magiciens (c'est juste à côté :p), ici il s'agit de la "chef" des "gardes de nuit". Nous avons donc un nouveau folklore avec ces cercles de Sorcières, ses Primes qui gèrent des Lames d'Ombre et des Lances Solaires, des Anciens... et une intrigue qui prend naissance au moment où tout est sur le point de partir en vrille.
Max ne vieillit plus depuis une trentaine d'année, au lieu d'être reconnaissante auprès de son ex-meilleure amie ou devrait-on dire sa sorcière Giselle, elle lui en veut à mort. A un moment donné ça peut agacer d'avoir une héroïne aussi "énervée" mais au fil des rencontres, des embuches elle se révèle être un personnage qui aime sa vie et surtout ceux qui l'accompagne. Ce que je reprocherais à Diana Pharaoh Francis est d'avoir fait un peu trop dans le côté "qui m'aiment me suivent"... ça en devenait un peu trop facile et too much. Surtout, pour la rencontre avec Alexander, un autre Prime. Dommage, ça aurait pu être mieux !
Les personnages secondaires font partie du décor autant que le folklore qu'a inventée l'auteur. Un univers prenant, une intrigue tout juste posée avec ce premier tome qui annonce du lourd pour la suite. Une plume dynamique avec un ton très moderne et les gros mots qui vont bien avec le caractère de Max. Pour les fans d'urban fantasy avec une héroïne qui envoie dés le début et qui n'a pas peur du sacrifice pour ses convictions. Bref, j'ai adoré !
