Spirou et Fantasio, tome 5 : Les Voleurs du Marsupilami

CHALLENGE PETITS PLAISIRS ( 5/40)

Après les héritiers il est dur pour Franquin de faire mieux et le comprenant très bien il ne le fait pas.

L'histoire qu'il nous livre est parfaitement simple, humaine et sans prétention avec un humour cinglant et puissant. le marsupilami est un des moteurs de l'intrigue mais n'est pas très important dans cet album. On assiste à une enquête policière très bien ficelé et bien trouvé.

Les dessins restent du niveau des héritiers et font le bonheur des yeux. J'ai beaucoup apprécié le personnage du pauvre footballeur obligé de voler pour survivre.

Pas un chef d'oeuvre mais un album très agréable et des plus distrayants.

Un régal ! Houba houba, hop !!! Allez-y direct... Un des 19 + 2 chefs d'oeuvre d'André Franquin pour sa série "Spirou et Fantasio" (c'est le tome 5 de la Saga), peinte aux encres de couleurs les plus vives... L'odyssée misérable de "l'honnête voleur" Valentin Mollet... Le zoo d'Anvers qui -- nous apprend l'article de Wikipedia -- servit de modèle pour les 18 premières planches ! Et le numéro impayable des fameux "Frères Cam et Léon" (alias Spirou & Fanta) faisant concurrence à celui du pauvre "Marsu" honteusement capturé, et qu'ils viennent, eux -- très sournoisement -- délivrer... Ah, outre le terrrrrible Grand Zabaglione (le "boss" du cirque), il y a encore le nain (sans nom) TRES méchant et ce pauvre Goliath, géant au petit chapeau (jaune) ridicule et au Q.I. pois-chiche, qui se fera joyeusement massacrer par un Marsupilami décidément TRES-très "véner" et en pleine forme... Car la bande-son nous le répète : "Houba hop, ha ha ha ha !!" Et c'est vrai... :-) Eternel bain de jeunesse de 1952...
Lien : http://www.regardsfeeriques...

Dans le tome précédent, Spirou et Fantasio avaient laissé le sympathique Marsupilami dans un zoo.
Ils ne vont pas tarder à avoir mauvaise conscience, aussi élaborent-ils un plan pour sauver le petit animal .
Malheureusement, ils ne sont les seuls à intéresser à cette mignonne petite bestiole.
Une suite à la hauteur des héritiers et qui permet d'apprécier tout le talent de Franquin qui nous emmène dans une haletante course-poursuite avec des personnages décidément forts attachants.

C'est LA BD de mon enfance. Je suis partie dépoussiérer mes anciennes BD pour valider un thème du challenge 2020 durant le confinement et voilà, j'ai tendu ma main vers cette BD qui me vient de mon papi et que j'ai récupéré durant les déménagements. J'aime toujours autant le Spirou de Franquin, une de mes madeleines de Proust ? Bien possible. Il y a de l'action, de l'humour et Fantasio n'est pas bête (comme celui d'Emile Bravo haha) alors tout me convient dans cette aventure simple et bien punchy.

La grande machine “Spirou et Fantasio” est maintenant lancée. Et ce pour de nombreuses années. Franquin se régale et poursuit l'aventure du Marsupilami, là où il l'avait laissé, au jardin d'acclimatation.
Mais très vite la conscience de nos deux héros est ébranlée par le fait qu'enfermé, le pauvre animal s'ennuie et n'est pas à sa place. Au moment de venir le délivrer, l'animal a disparu, entraînant à sa suite une ribambelle de personnages et d'aventures qui vont faire voyager nos amis et Spip le facétieux et courageux écureuil.
Le dessin est très abouti, les gags se succèdent sans discontinuer et le lecteur en a pour son plaisir.
Vivement la suite !

Lu il y a très longtemps, ce tome ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable. Comme de juste, je ne me souvenais pas de grand-chose dans les rebondissements. J'y reviendrai.

Le marsupilami s'ennuie au zoo. Les Belges verront sans doute dans les allées et les cages du zoo quelques ressemblances avec le zoo d'Anvers, ancré dans la ville, que l'on aperçoit parfois derrière le mur d'enceinte. Que dire du directeur au look à la Léopold II... Et voyant leur ami à poils dans cet état, Spirou et Fantasio envisage de le ramener en Palombie. Surtout Fantasio, finalement, dont on découvre le grand coeur assorti d'une belle colère.

Mais le marsupilami meurt et est enlevé. C'est donc qu'il n'est pas mort... Ouf !

Le tome est assez linéaire. Donc, Spirou et Fantasio arrive à Magnana (sans doute en Espagne, pas précisé, Franquin faisait de la sorte). Ils croisent le voleurs, qui est footballeur. Et ils retrouvent le marsupilami dans un cirque. Ils croisent aussi Pacôme, le Comte de Chapignac qui va leur donner un coup de main à base de pilules...

Je me souvenais donc de peu... le footballeur, un costaud dans le cirque et le numéro de Spirou et Fantasio, renommés Cam et Léon, dans le cirque. Car ils vont payer de leur personne.

Finalement, si je me souvenais de peu d'éléments, c'est qu'il y a une raison. Ce tome est mineur chez Franquin. Il sort du tome 4 Les héritiers. Sans doute un des meilleurs. Il va entamer La corne du rhinocéros, un Franquin engagé. Ici, il se base sur un scénario de Jo Almo, aka Géo Salmon, aka Jo Salbert, un journaliste qui va maquetter pour Franquin, et travailler avec Jidéhem, Jijé... et passera de Spirou à Tintin (le journal, pas le héros). La rumeur veut que Franquin s'apprêtait à abandonner le marsupilami. C'est l'idée de Jo Almo qui va repositionner l'animal de Palombie dans les personnages incontournables de la série. Rien que pour cela, ce tome doit être respecté. Même s'il n'atteint pas les sommets d'autres tomes.

En chroniquant La mauvaise tête, je louais la science des décors chez Franquin (et son atelier, bien sûr). Ici, les décors ne sont pas si fouillés, ils ne m'ont pas impressionnés de la même manière. Par contre, les mouvements, par exemple lors du match de foot ou lors du tour de Cam et Léon, sont magnifiquement bien rendus. On ne boudera quand même pas son plaisir, même réduit. Un tome sympa.

Un cinquième tome bien sympathique. A l'image du tome précédent avec l'héritage de Fantasio, on ne suit qu'une seule histoire mais il y a comme un découpage par actes.
Je me répète à chaque tome de Franquin, mais même si l'histoire n'est pas encore à son meilleure niveau par rapport aux futurs tomes qui approchent, la mise en scène est vraiment parfaite. Je retrouve son génie du découpage.

Un bel album de Franquin, où évolue ce prodigieux animal ramené de Palombie.
Le marsupilami s'ennuie au zoo. Présumé mort, l'animal est volé.
Spirou et Fantasio le retrouveront-ils?
Une histoire qui a ravi les lecteurs de l' hebdomadaire Spirou des années 1950.... Et qui continue de réjouir les jeunes lecteurs, tant le marsupilami est indémodable et original.

5e tome des aventures de Spirou.

C'est une sorte de suite au tome précédent, Spirou et les héritiers, où apparaissait le Marsupilami pour la première fois.

Cet épisode est tout à fait dans la continuité des héritiers, tant sur la forme (le trait de Franquin est quasiment mature) que sur le fond. L'histoire est sympathique, mais encore très linéaire (il suffit de lire le pitch !), trop linéaire pour sortir du carcan de la littérature enfantine.

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EXTRAIT "C'est donc une intrigue sympathique et rocambolesque que nous propose André Franquin. le Marsupilami est enlevé et c'est une véritable course-poursuite qui s'engage. le rythme est très soutenu, il y a beaucoup de péripéties."
Lien : http://chroniquesdelinvisibl..