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Critique de Lousine


Pour le mois de février, j'ai également lu ce polar historique qui se déroule en Amérique lors du début du siècle précédent
On assiste au retour de Jane Prescott, la dame de compagnie de Louise Tyler (mariée à William), pour élucider une nouvelle affaire criminelle.
Comme dans les précédentes aventures, nous sommes donc dans le New York du début du XXe siècle : 1913 pour être précis.
Les mots clés de cet environnement sont pauvreté, crimes et politique.
En congé, Jane va voir l'exposition cubiste qui fait parler d'elle car jugée trop scandaleuse.
C'est aussi le moment de l'anniversaire du discours de Lincoln à propos de l'émancipation des esclaves et pour le célébrer Dolly Rutherford, riche héritière et femme d'un homme d'affaires à la tête d'un grand magasin, organise une pièce dans laquelle la patronne de Jane doit jouer Lincoln.
Jane hésite entre profiter de son temps libre et aider la bonne et riche société new Yorkaise à s'habiller pour le spectacle et ainsi se divertir
Mais les choses vont mal tourner car une très jeune femme, Sadie Ellis, qui vit dans un refuge pour aider les femmes seules tenu par l'oncle de Jane (le révérend Twin Prescott) est retrouvée assassinée, le visage taillé à vif.
Jane se lance alors dans l'enquête pour innocenter son oncle avec l'aide du journaliste Michel Behan, déjà présent pour l'aider dans le roman précédent, et du pianiste Leo Hirschfeld qu'elle a rencontré lors des répétitions du spectacle en l'honneur de Lincoln.

Comme lors de ses aventures précédentes, j'ai beaucoup aimé suivre l'enquête et les péripéties de Jane, un personnage très attachant.
J'ai aimé également retrouver la plume de Mariah Fredericks que j'avais déjà découverte avec Une mort sans importance.
J'aime beaucoup les polars historiques et nous sommes ici doublement dépaysés : et de par le lieu où cela se passe et de par l'époque qui est révolue.

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