Lord John Grey, tome 4 : Le prisonnier écossais

— Que Dieu te bénisse, maudit bâtard d’Anglais, marmonna-t-il.
C’était sa prière habituelle lorsqu’il pensait à Frank Randall, ce qu’il s’efforçait d’éviter. Néanmoins, cela lui arrivait de temps à autre.
— Veille bien sur eux.

-Non, je m'efforce de vous convaincre qu'un homme a beau s'efforcer de faire ce qui lui semble juste, l'issue n'est pas forcément ce qu'il avait escompté ou désiré. Cela peut engendre des regrets, parfois de profonds regrets, mais ne devrait pas susciter en lui un sentiment de culpabilité éternel.
C'est pour cela que nous devons implorer la grâce de Dieu et espérer la recevoir.