La justice est un principe. Elle ne ressent rien.
La ruse, le vice comme techniques, tout ça nourri à la haine. C’est comme ça que ça se passe dans la rue, et sur les champs de bataille…
Les criminels, c’est comme les chiots, ça poussent par portées.
La lutte contre le mal est un combat sans fin. Quoi qu'on fasse, on ne terrasse pas le mal. Il revient. Toujours.
Elle vivait seule, pas de famille, pas de mari... Magie noire. Sacrifices. Sorcellerie. C'est ce qu'on dit de toutes les femmes qui sont veuves.
La justice c'est l'exemple. Pas la discrétion.
Tout. J'aime tout dans cette ville... A commencer par l’hypocrisie de ses habitants… Artisans, marchands, comédiens, vendeurs… Tous des tueurs en puissance… Je le sais, je les ai vus à l’œuvre. Si j’en tue régulièrement c’est pas pour rien. J’ai vu les meurtres, les lynchages, les émeutes… Et la grande guerre, celle qui dure encore dans les campagnes.
Mon épée va percer un garçonnet ? La belle affaire. Il a fait couler le sang, il recommencera… Et dans un an ou deux, il tuera par habitude, sans frémir, avec le sourire. Ils sont tous comme ça. Alors ceux qui le protège aujourd’hui l’ébouillanteront sur la place publique, sans le moindre remords.
... Je suis le serviteur de Dieu. Et il t'a fait mander.
L'heure du bourreau. C'est comme ça que les parisiens l'appellent.
Le bourreau porte généralement un masque : celui de la justice.