"Le plus désagréable, quand on a les deux pieds coulés dans le béton, c’est peut-être de n’avoir pas de mains pour chasser les mouches. La première image qui s’impose au lecteur l’introduit d’emblée dans l’univers d’Otto Ganz. Un humour noir, pince-sans-rire, d’autant plus efficace qu’il est inattendu. Et une obsession : les mouches, ces vigilantes, ces « anges noires » qui décomposent les corps et disloquent les idées, transportant d’un chapitre à l’autre des « par... >Voir plus