Le prologue est couleur terre bistre, avec le cri des coyotes alentour, le repas est composé de burrito et de haricots noirs.
Ainsi démarre le nouveau roman de
Lisa Gardner à la façon d'un film d'Ennio Morricone.
Nous sommes dans un coin perdu où le danger peut venir de tous, sauf de ceux qui meurent.
Les femmes mènent l'enquête : un quatuor féminin réalise l'investigation autour du personnage récurrent du commandant D.D. Waren.
L'intrigue va nous happer pour nous immerger dans les Appalaches.
La particularité du roman est de nous faire vivre cette histoire du point de vue d'une enfant qui ne sait plus parler, lire et écrire.
Je n'ai pas trouvé le rythme du livre très trépidant.
Est-ce le fait de l'autrice ou de la traductrice ?
Je me suis pris au jeu de la réécriture d'un paragraphe. Raccourcir les phrases, alléger de quelques précisions inutiles, pour lui donner un rythme plus dynamique dans l'esprit du thriller.
Je me demande alors quelle est la marge de manoeuvre de la traduction.
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