Anatomie d'un crime est construit comme ces films des années 80-90. On commence par la fin, très très pas joyeuse, et puis on reprend et on déroule le fil, dès le début de la fin.
Ce n'est pas un polar.
Plutôt un entremets.
Un constat.
L'impasse qui se profile et la catastrophe qui s'affine page après page.
Où tout ce qu'on a lu jusque-là d'
Elizabeth George paraît en comparaison protégé, élégant presque, à la violence et déchéance filtrées.
Un hors série qui a toute sa place dans le cycle.
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