Interlude à la sauce
Giebel.
Si la nouvelle n'est pas la forme de récit que je chéris le plus, je dois admettre que sous la plume de
Karine Giebel, ça dépote.
L'action commence dès la première page.
La tension devient palpable dès la deuxième page.
Il est impossible d'avoir envie de poser ses yeux ailleurs dès la troisième page.
J'ai fini ma lecture un peu hébétée, comme après une gamelle. le temps de réaliser qu'il y a quelque chose de grave qui se passe, c'est déjà fini. Mais on s'en souvient...
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