Quand
Giono décrit la Sainte Victoire ou les collines provençales , il utilise spontanément l'image du voilier et celle des collines . Quand il parle de la mer et de ses habitants il parle de de champs de narcisses ou autres sensations terrestres . C'est cela un poète .Dans ce roman étrange , composés de récits et de fragments d'un journal de bord ,il nous entraîne avec l'équipage d'un navire pour un périple mystérieux . En fait chacun à bord y poursuit sa « baleine blanche » dans une quête toute intérieure. Les merveilles du monde comme remède à l'angoisse de vivre car «
Un roi sans divertissement est un homme plein de misères ».
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