J'ai découvert ce livre bruni et abîmé dans une des boîtes à livre du village. Je le connaissais de nom et je connaissais la fascination de
Jean Giono pour
Herman Melville. Je m'attendais à un livre atypique dans so
n oeuvre. Je n'ai pas été déçu. le livre devait être une préface à sa traduction de
Moby Dick. Je m'attendais donc à une sorte de biographie ou une réflexion sur la baleine blanche.
Il n'en est rien, rapidement nous voyons l'homme des collines emporté par la création. Lors d'un voyage en Angleterre l'auteur rencontre une femme qui lui donne la force pour d'écrire son chef-d'oeuvre.
C'est finalement une réflexion sur l'auteur et sa création, sur son rapport au monde et à lui-même.
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