Citoyens, citoyennes, ne vous abstenez pas de lire la nouvelle aventure de Norbert et Kari : "L'élection" - Faites votre devoir des lecteurs - C'est un conseil du C.I.C* - Une occasion de rigoler comme celle-là ne se retrouvera pas avant 5 ans -
Ce qu'il y a de bien avec Norbert et Kari, c'est que vivant dans un véritable paradis terrestre (ou du moins que nous imaginons tel), ils arrivent quand même à se mettre dans des situations impossibles.
Il est vrai que Norbert, pour ce qui est de plonger tête première dans les difficultés, s'y entend...
Tenez dans cette histoire qui démarre où il va être question d'une élection âprement disputée, je vous assure que des situations explosives, il y en a !
Résultat des gerbes de rire pour vous...
En mai 1967, sur la couverture du 393ème numéro de "Pilote", une affiche électorale fait la une. Elle annonce une nouvelle aventure de Norbert et Kari qui ne sera reprise sous forme d'album qu'en mars 1981, par les éditions "Glénat".
En mai 1967, la France s'apprête à voter pour renouveler ses députés à l'assemblée. Pourtant l'événement n'est pas là.
Car sur Taratatah, minuscule atoll de corail perdu dans l'immensité du Pacifique du côté de la Polynésie, tonton Tomtom annonce par voix de rondin la réunion immédiate du conseil des sages.
Une décision doit être prise. L'heure est grave. Cela ne peut plus durer comme ça.
Norbert, intéressé, demande à Kapada-Pétih le chef du village, la permission d'y assister....
Une fois de plus Christian Godard signe une bande-dessinée réjouissante, insolente et gentiment contestataire. Norbert et Kari sont impayables mais, passez moi l'expression, dans cette excellente série B, même les seconds rôles sont soignés.
C.I.C : centre d'information comique
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Je suis fan de cette série à l'humour absurde et au duo improbable. Les personnages hauts en couleur sont tous hilarants.
Ce tome est un de mes favoris, qui représente bien l'esprit de Norbert et Kari.
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Parfait. puisque tout le monde est d'accord, adjugé-vendu et rendez-vous dans un mois pour prendre une autre décision. Je lève le séant.
"Je lève le séant"! Quelle misère! on ne dit pas le séant, on dit: JE LÈVE LA SÉANCE!
Mais voyons, tu n'y penses pas! Je suis du genre masculin, mon petit Kari...
Dans la vie, il faut apprendre à se taire.
Ou mieux, à parler pour ne rien dire, ça n'éveille pas les soupçons ...
LA CHRONIQUE DE JEAN-EDGAR CASEL - MARTIN MILAN