Non loin de Grenoble, le corps atrocement mutilé du bibliothécaire d'une prestigieuse université est retrouvé mis en scène en position foetale, dans une anfractuosité du massif alpin. À quelques centaines de kilomètres, la tombe d'un enfant a été profanée et les informations le concernant soigneusement dissimulées.
Lorsque Pierre Niémans et Karim Abdouf, les deux policiers chargés de ces enquêtes respectives, s'aperçoivent qu'elles sont liées, ils unissent leur force pour révéler le complot des rivières pourpres.
J'ai découvert l'oeuvre de
Jean-Christophe Grangé récemment, avec
le jour des cendres. Mauvaise idée que de remonter ainsi dans sa production :
Les rivières pourpres relate une histoire très similaire, mais dans un style bien moins abouti. En outre, les deux romans tombent dans le même défaut : l'identité du coupable se révèle trop vite à mon goût.
L'adaptation cinématographique des Rivières pourpres, vu il y a un moment déjà, ne m'avait pas laissé un grand souvenir ; le livre originel, qui reste agréable à lire, ne m'en donnera pas un meilleur.
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