L’histoire humaine est une longue suite de génocides, de barbaries et de cruautés. C’est la « bête » qui règne le plus souvent.
On donne ce qu’on reçoit. La vie est échange.
C’est-à-dire l’amour, la fraternité qui les unit, qui fait que dans un couple, tout s’échange et dans la paternité, tout se donne, et dans l’amitié tout se comprend.
Avant de semer, il faut labourer. Avant de récolter, il faut attendre que le grain germe.
L’amour est l’arme la plus puissante. À la fin c’est l’amour qui gagne.
Les utopies conduisent aux massacres – ainsi le goulag de Staline – et souvent les croyants des religions fraternelles sont devenus des fanatiques, ont dressé des bûchers, des gibets et creusé des fosses.
On ne donne jamais assez d’amour aux enfants.
J'ai appris au cours de ma vie que ceux qui ne respectent pas le droit s'engagent sur une route dont on ne connaît pas le terme. Or il y a des règles, des lois dans la société internationale. On ne peut, parce qu'on est la plus grande puissance du monde, imposer sa politique. Et je n'aime pas l'idée de guerre préventive. Je n'aime pas que dans les prisons d'Irak et dans le camp de Guantanamo on refuse d'appliquer la convention de Genève.
Le droit est le droit. Et les Etats-Unis, qui ont été la première nation au monde à se doter d'une constitution, doivent respecter la constitution que le monde s'est donnée avec l'ONU.
Le droit est le droit. Et les États-Unis, qui ont été la première nation du monde à se doter d’une constitution, doivent respecter la constitution, doivent respecter la constitution que le monde s’est donnée avec l’ONU.
Ceux qui ne respectent pas le droit s’engagent sur une route dont on ne connaît pas le terme. Or il y a des règles, des lois dans la société internationale. On ne peut, parce qu’on est la plus grande puissance du monde, imposer sa politique.