Marie-Albane lança une nouvelle croisade : celle de la féminisation des noms de métier. Si le poète Marc Chloros avait exprimé cette exigence au nom de l'harmonie universelle, l'inventrice de la métalittérature condamnait ce raisonnement comme obscurantiste et réactionnaire. Selon elle, la féminisation des termes était plutôt une étape essentielle dans le renversement de l'ordre bourgeois.