Il y a
Elsa Morante,
Moravia, Pavese, Visconti,
Pasolini.
Il y a l'Italie, la littérature, le cinéma.
Il y a l'amour, la passion, la destruction.
Il y a l'écriture superbe de
Simonetta Greggio.
Mais il n'y aura pas eu de rencontre entre ce livre et moi.
Difficile de vous expliquer pourquoi. Je pense ne pas le savoir moi même. Peut-être trop intime, trop saccadé. Peut-être que la construction en courts chapitres sans chronologie m'a perdu. Peut-être n'était-ce pas le bon moment tout simplement.
En tout cas et à mon grand regret, je suis passée à côté.
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