Les précédents titres pillés à un film, puis à
Apollinaire, et maintenant à Bashung, quelle inspiration pour un écrivain. Et cette manipulation marketing m'irrite : La romancière la plus lue en gros, en majuscules, et en-dessous en tout petit : en 2019. Une romancière à succès a-t-elle besoin de cette couverture publicitaire à moitié mensongère pour vendre ?
L'histoire feel-good, créneau juteux du printemps usé jusqu'à la corde, reste banale. Un chien "farfelu", l'émotion tire-larmes, des vieux, des enfants, des mères fragiles, des clichés, tous ces romans peu écrits finissent par se ressembler.