Les amateurs de
la Firme, comme je le suis moi-même, vont se retrouver en terrain connu grâce à quelques petits éléments, tels que la salle à manger "spéciale associés" et les photocopieurs à code d'identification. La ressemblance s'arrête là.
Ce roman de
Grisham offre avant tout une belle leçon de vie. Michael, à qui tout réussi, élevé dans le culte de la réussite sociale, se rend compte que tout cela ne compte pas et peut être perdu très vite. Pour tranquiliser sa conscience, il n'hésite pas à laisser tomber une carrière qui lui assurait des revenus équivalant à près d'un million de dollars par an (une fois qu'il serait passé associé).
Bien documenté,
Grisham fait prendre conscience du drame vécu par ceux qui vivent à la rue, ignorés et rejetés par tous. Emouvant et trépidant,
La loi du plus faible est bien plus qu'un polar et mérite vraiment d'être lu.
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