Malgré la richesse des informations qu'enferment ces pages, ce livre accuse une certaine lourdeur stylistique. En effet,
Catherine Guennec se glisse dans l'esprit de Joséphine Hopper sans grâce, en usant et abusant d'exclamations et de points de suspension qui donnent une impression d'artificialité, à peine rattrapée par quelques descriptions plus poétiques. le manque de précision bibliographique est aussi à souligner (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/03/21/
les-heures-suspendues-selon-hopper-catherine-guennec/)
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