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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Les malheurs des enfants Baudelaire sont toujours aussi drôles. L'auteur a ce talent pour rendre humoristique des sujets plutôt graves. Les pauvres orphelins découvrent un nouveau tuteur loufoque et le comte Olaf continue de les poursuivre avec ses déguisements toujours plus ridicules. le monde de la grammaire et de l'orthographe s'ouvre aux enfants et devient leur allié pour survivre une nouvelle fois à des adultes qui ne veulent pas les écouter.
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Dans ce troisième tome des Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire, on continue de suivre le périple des trois enfants, toujours accompagné de l'humour noir de l'auteur, que j'apprécie bien. C'est un livre jeunesse avec un langage riche et varié, ainsi qu'une trame intéressante. J'aime toujours autant.
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Lus il y a plusieurs années, je ne suis pas sure de pouvoir me rappeler de chaque tome bien précisément. Je vais donc faire une critique globale qui n'ira de toute façon que jusqu'au tome 7 qui est le dernier que j'ai lu.

Tout va mal pour les orphelins Baudelaire, il ne leur arrive que des malheurs, et rien ne s'arrange au fil de leurs aventures, on peut même dire que l'on va de mal en pis !

J'ai été conquise par les trois premiers tomes qui m'ont laissé de très bon souvenirs et pour lesquels l'histoire est un peu plus nette que pour les quatre suivants. Mais j'ai effectivement été lassée par la suite qui ne fait que répéter ce même schéma que l'on retrouve dans pratiquement tous les romans. Les orphelins sont attachants mais de manière générale les personnages manquent un peu de relief, on est effectivement dans du roman jeunesse qui donne envie de lire mais qui ne va pas chercher beaucoup plus loin que le filon de départ.

Est-ce que je lirai la suite un jour ? Peut-être mais pas tout de suite. Cependant je pense que c'est une bonne approche pour les publics plus jeunes.
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Ce livre est une très bonne suite avec beaucoup d'actions et de "bon" pessimisme (j'espère que vous comprendrez).
Violette, Klaus et Prunille se surpassent sur ce tome.
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Une série qui m'intrigue depuis très longtemps. Je connaissais son existence depuis des années sans qu'elle ne retienne mon attention, je connaissais l'existence du film sans l'avoir vu. C'est en découvrant l'autre série de l'auteur (Les fausses bonnes questions) que je me suis décidée à m'atteler à la lecture des aventures de ces orphelins. J'y retrouve tout ce qui m'a enchantée dans la plume de l'auteur et je suis contente d'avoir lu ces trois tomes. Je lirais sans hésiter la suite dès que je pourrais me la procurer.

Avant toute chose, je peux comprendre les avis mitigés et négatifs. L'humour est grinçant, l'ambiance est sombre, pas de happy end, un sentiment de peur et de tristesse. le fait que les enfants sont livrés à un monde d'adultes incompétents et mauvais. Ce sont des éléments que j'aime beaucoup de manière personnelle et qui peuvent choquer d'autres, les dérouter et donc passer à côté de cette série. C'est vrai que cette série, je pense la lire à petite dose, lentement et sûrement, parce qu'elle est très sombre et inquiétante. L'atmosphère est peu réjouissante, ces enfant subissent le monde adulte, les problèmes s'accumulent et même quand ils s'en sortent brillamment, une énième mauvaise péripétie survient.

Malgré cet aspect redondant j'avoue avoir passé un bon moment devant les rebondissements inventés par l'auteur. Les aventures sont bien rythmées, les romans sont courts ce qui permet de ne pas appesantir de trop sur l'ambiance lourde et pesante. Incendies, serpents, meurtres, ouragans, créatures inquiétantes, tentatives d'enlèvements et de séquestration... le comte Olaf en fait voir de toutes les couleurs à nos orphelins. le récit sait être alléger avec ce ton ironique et mordant, l'humour est bien dosé. Et j'aime l'inventivité et la complémentarité de ces trois enfants touchants et surprenants.

L'histoire débute sur un incendie violent. Violette, Klaus et Prunille perdent leur foyer et leurs parents. Mr. Poe les envoie chez un proche, leur oncle Olaf, un artiste violent, cruel et un tantinet avide. Il semble désireux de mettre la main sur l'héritage Baudelaire, une belle somme d'argent et pour cela, il n'hésite pas à se déguiser, à tuer, à vouloir se marier avec Violette. Les intrigues sont courtes, bien menées, avec de bons rebondissements et les révélations sont sympathiques. J'ai beau croire les enfants très intelligents, j'ai toujours peur des inventions d'Olaf. Les trois premiers tomes sont plaisants à découvrir et j'ai une préférence pour le premier tome, il est sombre à souhait et toute cette troupe fait froid dans le dos. Les amis d'Olaf forment des comparses dangereux et j'ai bien aimé les revoir par la suite.

La plume de Lemony Snicket est géniale. Elle dresse le décor d'emblée, l'auteur nous prévient et joue avec ce ton ironique, il fait de très bonnes descriptions : émotions, actions, lieux et personnages. Il y a un côté très visuel à l'ensemble et les illustrations sont très chouettes, elles complètent très bien le texte. Ce dernier reste fluide, agréable à lire. J'aime les apartés qu'il fait pour nous prévenir ou nous parler de choses et d'autres. Les personnages sont intéressants et bien construits, j'ai beaucoup d'affection pour Violette. Elle est certainement mon personnage préférée, elle est réfléchie, pleine de curiosité et invente tout un tas de choses. Klaus est charmant, quoi qu'un peu agaçant par moment, j'adore son côté lecteur. Prunille est adorable, elle m'a souvent amusée avec son langage et avec les notes de l'auteur tentant de traduire ce qu'elle dit. Olaf est un antagoniste de qualité, c'est le méchant très malchanceux et pourtant très cruel, malin, ingénieux et perfide. Il ne recule devant aucun méfait pour s'emparer de la fortune Baudelaire.

En conclusion, j'ai lu les trois premiers tomes et je ne le regrette pas. C'est super intéressant à lire, j'ai fait une bonne découverte parce que je retrouve cette ambiance si atypique, ces personnages si géniaux que seul Lemony Snicket parvient à créer. Il y a de bonnes histoires, des trouvailles captivantes, une atmosphère fascinante, un humour singulier, des personnages percutants ; j'aime ces premiers tomes et j'espère pouvoir découvrir la suite un de ces jours. Cette série ne laissera personne indifférent, c'est certain.
Lien : https://la-citadelle-d-ewyly..
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J'avance tranquillement dans la lecture de ces tomes (et j'écris ces critiques très tard). J'ai bien aimé ce tome avec l'entrée d'un nouveau personnage que l'on ne peut qu'aimer malgré ses nombreux défauts. On en sait un tout petit peu plus sur les parents Baudelaire...
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La tante Agrippine et son amour inconditionnel de la grammaire! Ses peurs irrationnelles! Comment oublier un personnage aussi exubérant et farfelu? Dans ce troisième tome, après avoir séjourné brièvement chez leur oncle Monty, le trio Baudelaire est logé au bord du Lac Chaudelarmes, ou plus précisément, au-dessus du lac. Dès le début du roman, nous savons de concert avec le narrateur que rien ne va aller pour le mieux; le lac Chaudelarmes est réputé pour les sangsues qu'il abrite. Violette, Klaus et Prunille découvrent une tutrice plus soucieuse de la tournure de leurs phrases plutôt que de leur sécurité, et prompte à se muer en une demoiselle éplorée dès qu'il est question de sangsues dans la conversation! Bien évidemment, le Comte Olaf réapparaît, déguisé cette fois en marin, et accompagné de "la créature obèse" dont on ne saurait dire si elle est un homme ou une femme. Contrairement aux deux premiers tomes où les orphelins devaient faire preuve d'ingéniosité pour déjouer les manigances d'Olaf, ce troisième volume marque le début d'aventures plus périlleuses pour les trois enfants qui vont devoir braver l'ouragan Hermann et les eaux déchaînées du lac afin de mettre en échec la stratégie diabolique du Comte Olaf.


Nous retrouvons de nouveau des situations aussi invraisemblables les unes que les autres, la plume sarcastique et noire qui fait notre plus grand bonheur. Nous en apprenons un peu plus sur la famille Baudelaire, ainsi que celle d'Agrippine. Je pense que ce tome est l'un de ceux où le suspense est le mieux orchestré: même si le retour d'Olaf n'est pas une surprise, nous ne savons pas à quoi nous attendre de sa part (un coup tordu, d'accord, mais de quelle sorte? Encore un meurtre? Un incendie, un de plus?). Nous constatons également l'évolution du trio Baudelaire: d'abord terrifiés par le Comte Olaf (dans les deux premiers tomes), les enfants font preuve d'un courage inouï et trouvent la force de le tenir en respect. Vous devinez que cela signifie que le champ de bataille va s'agrandir et que par conséquent, la lutte sera de plus en plus acharnée et sans merci, et que ceux qui seront pris dedans risquerons d'y laisser leur vie, justiciers comme scélérats. Nous retrouvons des éléments qui parodient l'Amérique contemporaine: le restaurant du Clown anxieux caricature l'enseigne McDonald et sa fameuse mascotte. Les nerfs des Baudelaire sont de nouveau soumis à rude épreuve dans cette palpitante aventure regorgeant de surprises. Je ne me lasse pas de lire et relire ce tome dont l'humour noir ne vieillit pas.
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Je poursuis ma lecture des aventures des orphelins Baudelaire et me voilà arrivée au tome 3.

Nouveau tuteur, nouvelle aventure. Après la mort de leur oncle Monty, les enfants Baudelaire sont confiés aux bons soins de leur tante Agrippine (d'ailleurs, quelqu'un peut m'expliquer pourquoi les traducteurs ne lui ont pas laissé son prénom initial de Joséphine ? Bref…). le problème de la tante Agrippine, c'est qu'elle a peur de tout. Mais alors vraiment de tout : des poignées de porte qui pourrait éclater, des tapis dans lesquels on pourrait se prendre les pieds, du téléphone qui pourraient nous électrocuter, j'en passe et des meilleurs. du coup, on est en droit de se demander si la tante Agrippine sera une si bonne tutrice qu'aurait pu l'être l'oncle Monty…

On se rend bien vite compte que non. Mais elle est cependant toujours mieux que le comte Olaf. D'ailleurs en parlant du loup. Bien évidemment, il n'en a pas fini avec les Baudelaire. Et bien évidemment, une fois encore, les adultes n'y voient que du feu lorsqu'il apparait sous un nouveau déguisement. C'est agaçant, tout de même, de voir des adultes si idiots qu'ils n'arrivent pas à voir ce qui est sous leur nez. Ce qui est encore plus agaçant, c'est de voir la façon dont ils rabrouent les enfants lorsqu'ils essaient de dire ce qu'il se passe vraiment. Mais autant on est habitué à Mr Poe et on commence à savoir que ça ne changera jamais, autant j'ai vraiment eu du mal avec la tante Agrippine qui a tellement peur du compte Olaf qu'elle est prête à laisser les enfants à sa merci pour sauver sa propre peau. du coup, j'ai eu beaucoup de mal à apprécier de personnage.

Pour autant, les enfants Baudelaire continuent de faire preuve d'une intelligence et d'une capacité d'adaptation et de réaction m'impressionne. Et au-delà de ces personnages adultes agaçants, ces petits me plaisent bien et leurs mésaventures sont aussi désastreuses que sympa à lire (désolée pour eux).

Au-delà de ça, nous retrouvons bien sûr l'inimitable Lémony Snicket et son style narratif. L'humour noir est encore une fois bien présent. Les petits spoilers aussi. Les explications entre parenthèses de certains mots ou de certaines expressions et les petites digression prêtent toujours à sourire. Qu'on se le dise, ce qui fait que cette série de livres est un régal, c'est en grande partie grâce à Lemony Snicket. Et puis, comme les deux tomes précédents, ça se lit vite et facilement.

Allez zou, tome 4.
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Dans ce tome-là, les orphelins Baudelaire sont confiés à leur tante Agrippine. Une femme qui vit dans une maison au bord d'une falaise, qui paraît sur le point de s'écrouler au moindre coup de vent. Et cette femme, bien que vivant dans un endroit dangereux, n'a pas peur de ça mais de tout le reste. Même des agents immobilier, des paillassons, des fourneaux, du téléphone. Des peurs irrationnelles qui lui rendent la vie impossible. Et c'est une dingue d'orthographe et de grammaire aussi. Elle a quelques côtés attachants mais elle est tellement centrée sur elle-même qu'elle ne fait pas assez attention aux désirs des enfants, ni à ce qu'ils essaient de lui dire.
Encore une fois, les adultes ne font pas attention à ce que Prunille, Klaus et Violette ont à leur dire et les trois orphelins Baudelaire doivent se débrouiller seuls pour s'en sortir, même à prendre des gros risques et à risquer leur vie.
L'écriture est toujours aussi bonne et agréable, l'auteur est loufoque, les personnages aussi, et on ne s'ennuie pas au court de la lecture. J'ai encore une fois passé un bon moment de lecture et eut peur pour ces orphelins. On a beau nous prévenir que ça va être tragique, on espère toujours que les orphelins vont enfin trouver un endroit pour eux.
Lien : https://jetulis.wordpress.co..
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Après avoir encore un fois échapper au comte Olaf, et après l'accident pas si accidentel de leur oncle Monty ; les trois orphelins Baudelaire sont placés chez un femme : tante Agripine. Elle a peur de tout pour rien et même si la vie n'est pas facile, ils sont loin d'Olaf au moins... ou pas.
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