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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Il m'en coûte de le dire, mais la critique que voici ne contient rien de réjouissant. Aussi, Babeliote, à toi de décider si tu te sens la force de la lire...

Sur ces quelques mots empruntés de la 4e de couverture et détournés à mon profit, le 3e tome s'inscrit dans la lignée des deux premiers. Les Baudelaire vont à nouveau rencontrer un tuteur peu efficace ( Agrippine obtient sûrement la palme...), vont à nouveau se heurter aux combines du Comte Olaf ( avec ses déguisements si inventifs), vont à nouveau imaginer des plans astucieux pour se tirer d'affaire ( message codé, signal d'alarme, jusqu'à inventer du temps!) et vont à nouveau compter sur l'incapacité flagrante de Mr Poe ( quand va-t-il se décider à voir plus loin que le bout de son nez, on se le demande...) . Au programme, une maison glacée, des soupes glacées, un ouragan glacé, une virée sur un lac glacé et une ambiance de restaurant glacée... Voilà un près ce que l'on peut dire pour ce troisième tome. Lemony Snicket reprend avec astuce ses signatures, que ce soit par la narration particulière, les chapitres courts qui s'enchaînent vite et bien ou encore le tout agrémenté de leçons - de grammaire, d'histoire, de vie... - qui font le charme de cette série.

Un 3e tome que j'ai pris beaucoup de plaisir à relire.

PS : J'espère ne pas avoir fait de grosses fautes Tante Agrippine.

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Avec ce troisième tome des Aventures des Orphelins Baudelaire (le titre français), j'avance doucement mais surement dans plusieurs de mes challenges (lecture en vo, ABC imaginaire et surtout, celui des séries !) et je suis très fière de moi. Et j'ai apprécié ma lecture, qui plus est, ce qui n'est pas négligeable. Je lui préfère peut-être le tome précédent (côté intrigue) et pourtant, c'est sans doute ce troisième opus qui me marquera le plus depuis le début… Etrange. Je ne possède malheureusement pas la suite mais j'espère bien la trouver un jour en anglais, pour continuer dans ma lancée ! En revanche, je vous épargne la chronique dans la langue de Shakespeare (de toute façon, je ne crois pas que ce serait particulièrement lisible…).

Qui dit troisième tome dit troisième aventure. En effet, le schéma narratif se construit sur le modèle du livre précédent. Nous retrouvons les trois enfants Baudelaire : Violet, Klaus et Sunny, à nouveau complètement orphelins, à nouveau placés par Mr Poe, chez un nouveau tuteur. Cette fois, il s'agit d'une femme, une tante éloignée : Aunt Josephine. Alors que les trois orphelins s'accommodent tant bien que mal des peurs et maniaqueries de leur nouvelle tutrice, le Comte Olaf, leur pire ennemi, revient dans le paysage, déguisé mais reconnaissable et parvient à embobiner tous les adultes pour s'accaparer les enfants (et donc leur fortune).
Rien de bien extraordinaire comme vous pouvez le voir, mais ce qui fait l'intérêt de ce troisième tome, c'est l'originalité et la force des personnages, notamment la vieille tante un peu loufoque. Récemment veuve, Aunt Josephine vit au sommet d'une colline, dans une maison branlante, juste au dessus du lac aux sangsues (Lake Lachrymose). Terrifiée par tout et n'importe quoi (le téléphone qui peut électrocuter, la gazinière qui peut exploser, les agents immobiliers qui peuvent… on ne sait quoi…) et complètement obnubilée par la grammaire et l'orthographe, la vieille dame n'est pas méchante mais n'est pas d'un très grand réconfort. Et lorsque le Comte Olaf, déguisé sous les traits d'un marin du nom de Captain Sham, débarque en ville et lui fait les yeux doux, elle tombe dans le panneau, malgré la mise en garde des enfants qui eux, ont bien reconnu leur ennemi derrière la jambe de bois et l'oeil bandé. Celui-ci, cruel comme jamais, est prêt à tout pour récupérer la fortune des Baudelaire, n'hésitant pas à pousser la tante Josephine au suicide…

Encore une fois, et je trouve que c'est vraiment très présent ici, il y a un véritable décalage entre les adultes et les enfants. Ces derniers, conscients de tous les dangers et débrouillards, ne peuvent compter que sur eux-mêmes car leurs aînés, bornés et complètement aveugles, ne se rendent compte de rien et se noient dans leurs manies et tics. Mr Poe passe son temps à tousser dans son mouchoir et ne se rend jamais compte de la gravité d'une situation (ou alors quand le mal est fait et réparé). Quant à la tante Josephine, peureuse et tête en l'air, elle ne remarque que les fautes de langage et rien ne revêt plus d'importance que la grammaire dans sa vie.
Pauvres Violet, Klaus et Sunny… tous trois sont encore une fois bien lotis. Et malgré tout, ils restent fidèles à eux-mêmes : déterminés, intelligents, solidaires. Violet et ses cheveux attachés lorsqu'elle réfléchit pour inventer un système, Klaus et ses livres, Sunny et ses dents affûtées qui ne ratent jamais leur cible ! Ils connaissent parfois des moments de profonde tristesse et mélancolie (mais, qui n'en connaîtrait pas après avoir perdu ses parents et en étant traîné de foyer en foyer chez des tuteurs plus incapables les uns que les autres ?) mais savent toujours rebondir et attraper la lueur d'espoir qui passe.

Et Lemony Snicket met très bien en scène cette dualité : le fond (l'histoire) est particulièrement grave et déprimante, mais il évite de peser trop sur le moral du lecteur en traitant la forme de façon humoristique, avec beaucoup d'ironie. le ridicule et la bêtise des adultes sont tellement prononcés qu'il est difficile de ne pas sourire devant leurs (absences de) réactions. Vous pouvez donc y aller (et les plus jeunes lecteurs également), vous ne vous tirerez pas une balle après cette lecture.

J'ajouterai que, ceux qui souhaitent tenter la lecture en vo, peuvent tout à fait se lancer dans cette saga certes longue (13 tomes) mais très abordable niveau vocabulaire et syntaxe. Il reste quelques termes un petit peu difficiles, mais l'auteur les explique, la plupart du temps (et oui, ce sont des livres pour enfants au départ…). Même si vous n'êtes pas bilingues (ce que je ne suis assurément pas), vous comprendrez tout de même l'ironie mise en place par Lemony Snicket et apprécierez son style.


Dans la continuité des deux premiers, ce troisième tome reprend le même schéma narratif mais se distingue par l'arrivée d'un nouveau personnage marquant et haut en ridicule. Un fond grave intelligemment atténué par une forme humoristique maîtrisée. Une fin à nouveau ouverte… mais que va-t-il se passer pour les trois orphelins dans le tome suivant ?
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Pour ce troisième tome, on reprend le scénario du deuxième tome et on l'adapte aux événements. Cela pourrait embêter certains lecteurs mais ça m'a bien plu. Et jusqu'au tome sept, ce scénario va se répéter mais à chaque fois, nous apprenons de nouvelles choses.
Dans ce tome-ci, les orphelins Baudelaire vont vivre chez un nouveau tuteur, leur tante Agrippine (Josephine en VO, ça peut être important pour la suite), au bord du lac Chaudelarmes, un lac rempli de sangsues très vilaines.

La maison de leur tante est perchée dans un équilibre instable au dessus du lac et semble prêt à y basculer au moindre coup de vent. D'ailleurs, Herman, un ouragan, est attendu sur le lac.

Les enfants vivent avec leur tante un court instant avant que le Comte Olaf ne refasse son apparition. Cette fois, il est déguisé en capitaine de bateau, le capitaine Sham et tente de séduire Agrippine pour faire ce qu'il veut d'elle.



La tante Agrippine est le nouveau personnage de ce tome et le nouveau tuteur des orphelins. Autant le dire tout de suite, elle est bizarre. Elle a peur de tout. Et quand je dis tout, c'est tout. Elle a peur des fours (ce qui fait qu'elle sert de la soupe froide), des poignées de porte et plus étonnant encore, des agents immobiliers. Elle a aussi peur du lac Chaudelarmes depuis que son mari s'y est noyé à cause des sangsues. Et pourtant elle vit dans une maison qui risque d'y basculer. Sa grande passion, c'est la grammaire. Sa grande et magnifique bibliothèque est remplie de manuels de grammaire.

Le Comte Olaf est déguisé en capitaine de bateau, le capitaine Sham, un pauvre homme auquel il manque une jambe, remplacée par une jambe de bois. Il est nul en orthographe (c'est important!) et a un plan très machiavélique pour récupérer la fortune des orphelins.

On apprend des choses sur les orphelins, principalement sur leur mère (même si c'est peu) et une de leur particularité médicale qui va beaucoup les aider. Encore une fois, les livres et la culture sauvent les orphelins.



Et ce tome est plein de mystère. Déjà, il y a le message codé. Il faut en avoir déjà écrit pour pouvoir cacher un message aussi vite. Grâce à un des tomes suivants, on sait que l'un des livres que découvrent les orphelins aurait pu leur être extrêmement important. Et puis la fin est très ouverte.



On en apprend également un petit peu sur Lemony Snicket même si on ne peut pas tout comprendre. Pourquoi doit-il raconter l'histoire des orphelins Baudelaire? Je me demande si on le saura. le style d'écriture reste égal au deux tomes précédents.


Un très bon troisième tome.
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Un nouvel opus des Orphelins est toujours synonyme de nouveaux malheurs dans leur vie ! Cette fois, ils se rendent sur le lac Chaudelarme pour vivre avec une vieille tante excentrique - Agrippine - obsédée par la grammaire et l'orthographe, et accessoirement effrayée par tun peu et n'importe quoi (pensez ! Un paillasson peut devenir une arme destructive, le téléphone est une invention destinée à nous électrocuter, sans parler du fourneau, des poignées de porte et des cambrioleurs !...)

Mais leur séjour dans cette maison grise et triste pleine de courants d'air n'est pas de tout repos puisque le comte Olaf les retrouve, déguisé cette fois en loueur de voiliers ! Affublé d'une jambe de bois et d'un de ses nombreux complices, il cherche toujours le moyen de s'emparer de la fortune des orphelins.

Chaque nouveau tome nous permet d'explorer de nouveaux lieux, de nouvelles bibliothèques, de nouveaux déguisements d'Olaf, mais surtout, toutes les épreuves subies rapprochent de plus en plus le frère et les deux soeurs ! Malgré leur poisse, ils prennent peu à peu conscience du maigre bonheur qui leur reste : rester ensemble et soudés malgré la tournure désastreuse des évènements et les harcèlements d'un comte Olaf vraiment très imaginatif !

J'ai particulièrement aimé ce tome-ci. Je ne sais pas si ça tient à l'aspect de plus en plus triste et sombre de leur destin, mais j'ai aussitôt attaquée la suite : Cauchemars à la Scierie (désolée Syl !) et j'ai bien l'impression que l'histoire va prendre une nouvelle tournure...

Et j'aime toujours autant les incursions de l'auteur qui apportent une note d'humour et d'excentricité supplémentaire à son récit. J'ai entendu dire que plus on avance dans la série et plus l'histoire est prenante, et c'est bien mon impression pour l'instant !...
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Où les orphelins tombent sur des tuteurs qui ne sont pas à la hauteur

Cette fois ci, ils vont aller chez leur tante, dont la maison surplombe un lac plein de sangsues sanguinaires. Cette tante a peur d'absolument tout et voue sa vie à la grammaire et à l'orthographe. On sent qu'elle a tellement peur qu'elle ne s'attache pas à Violette, Klaus et Prunille. Ils le sentent de suite d'ailleurs et cela les rend beaucoup plus faibles grâce à l'affreux Oncle Olaf, qui comme d'habitude, va user de moyens totalement horribles pour s'accaparer la fortune des petits Baudelaire

L'enjeu de cet épisode sera bien entendu de se sauver, comme d'habitude. Les Orphelins joueront de malchance et devront déjouer toutes sortes de pièges. Ils n'évolueront peut être pas autant dans ce tome mais montrent qu'ils gagnent en ingéniosité.


Des Orphelins qui n'ont peur de rien

Enfin, si. Ils ont peur. Mais tentent par tous les moyens de dépasser leurs frayeurs en se serrant les coudes (et les dents) et surtout en se complétant à chaque fois. Peut être qu'un jour ils montreront aux adultes qu'ils doivent faire confiance aux enfants. Et c'est bien cela tout l'enjeu du livre, tout l'enjeu de la série, comme un message adressé aux parents. Les enfants ne sont pas foncièrement menteurs et il faut les écouter, à tout prix.

J'ai eu l'impression pendant tout ce tome que non seulement on ne les écoutait pas et qu'on les forçait au silence, mais que de plus, on leur montrait bien qu'ils sont seuls et non désirés, alors qu'eux ne recherchent qu'à aimer et à être aimés. Ce fut donc un tome bien triste mais heureusement que l'auteur a su le ponctuer de ses petites réflexions amusantes.

Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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Noyée dans une lecture soporifique, je m'octroie une petite récréation avec ce tome 3 des désastreuses aventures des orphelins Baudelaire : "Ouragan sur le lac". Cette fois-ci nos orphelins préférés atterrissent chez leur tante Agrippine, qui adore les soupes de concombres glacées mais a peur de tout, et surtout des terribles sangsues du lac Chaudelarmes à coté duquel elle habite (et qui accessoirement ont dévoré son mari adoré). Malheureusement, le terrible comte Olaf parvient à retrouver leurs traces, et semble toujours bien décidé à récupérer leur fortune... J'ai beaucoup aimé l'atmosphère de ce tome autour du lac, avec la menace de l'ouragan qui rend tout électrique et la légende des sangsues carnivores. Cette fois-ci nos orphelins utilisent la grammaire et l'orthographe pour se sortir de ce mauvais pas, ça a dû faire du bien à ma fille de relire quelques règles...! Bref, toujours sympa.
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Cette série m'enchante toujours autant ! En espérant tout de même un petit renouvellement pour la suite =) !
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Tristes lecteurs, nous voici une fois encore en train de discuter la triste histoire des orphelins Baudelaire. Après s'être échappés du domicile du maléfique Comte Olaf et avoir traversés moult péripéties dans le laboratoire aux serpents, M. Poe les conduit cette fois-ci chez Tante Agrippine. Tante Agrippine semble cette fois-ci gentille, même si (comme pour tous les personnages gravitant autour de nos pathétiques orphelins) elle semble bien fêlée du bocal: ayant peur d'absolument tout, elle ne cuisine par exemple que de la soupe de concombre (de peur que la cuisinière explose). Même chose lorsqu'il s'agit de répondre au téléphone. C'est également une grammar nazi, corrigeant encore et encore la pauvre Prunille qui elle, emploie une syntaxe bien originale. Evidemment, malgré une peur bleue de tous les objets du quotidien, on relèvera comme souvent dans les livres de Snickett une ironie absurde délicieuse: elle vit dans une maison à proprement dit perchée dans le vide.
Vous vous en doutez désormais, le Compte Olaf ne sera pas bien loin pour leurs jouer des tours.

C'est un tome certainement amusant car n'hésitant pas à jouer l'absurde très, très loin. C'est une des plus grandes richesses de la saga: cette histoire jeunesse complètement barrée, pleine de protagonistes complètement désaxés et répondant à une logique improbable (souvent explicitées en ces termes par l'auteur lui-même).
Ceci, et évidemment le pessimisme omniprésent qui délecte je pense tous les fans de cette saga. C'est honnêtement un tiers de chaque bouquin. Un tiers où on nous déconseille de poursuivre notre lecture, où on déplore les péripéties à venir... Et évidemment, même si au bout de trois tomes, ça n'est plus si original, ça dénote dans le paysage littéraire malgré tout.

Ouragan sur le Lac est donc un opus amusant et franchement divertissant, portant nos orphelins devant une montagne de problèmes (une fois n'est pas coutûme).
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Des tomes qui s'épaississent, mais des défauts aussi. On a du mal à croire le rebondissement concernant la jambe du capitaine Sham, et il y a le fait qu'un ouragan sur un lac (comme le surligne si bien Klaus) soit une aberration météorologique. On n'en est pas moins saisi par l'angoisse qui rôde avec les sangsues et toutes les horreurs qui rôdent autour du lac. À commencer par ce cher comte Olaf.
Comme toujours, Lemony Snicket a ce don grinçant pour décrire les pires moments et montrer que leurs circonstances ne pourraient pas être pires : une soupe de concombres froids, une allergie aux pastilles à la menthe, une vieille tante obsédée par la grammaire... Mention spéciale pour Billy le serveur du restaurant du Clown Joyeux, à côté de qui même Grippe-sou ressemble à un champion comique international. Et il en reste encore dix. À mon grand plaisir, Lemony Snicket n'a décidément pas fini de nous faire grincer des dents.
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Cette couverture est aussi belle que celles des deux tomes précédents.
Sur celle-ci, on y voit sur un fond violet foncé un cadre où en premier plan on y voit une jeune fille, qui peut s'apparenter à Violette, tenant un bébé dans ses bras que nous pourrions deviner aisément comme étant Prunille. En second plan nous voyons un jeune garçon dans un siège de salon en train de lire un livre et au troisième plan on distingue un ouragan arrivant tout droit sur ces trois jeunes enfants.


Pour ce qui est du livre :

Les chapitres sont assez courts tout comme les deux autres tomes précédents et il y a toujours de jolies illustrations qui ornent à chaque fois le début de ceux-ci.
L'écriture est très aérée et très facile à lire.
Nous aimons que l'auteur fasse quelques annotations personnelles qui nous font bien rire à chaque fois.
C'est un livre très bien conçu où nous voyons encore un avenir tourmenté pour les enfants Baudelaire.
Tout commence bien, les enfants sont très vite recueillis par une autre personne leur famille mais la suite de l'histoire va se gâter.
Il y a toujours de mauvaises et de bonnes personnes tellement naïves qu'elles ne veulent pas croire les orphelins et en deviennent vite pénibles.
Sinon tout l'histoire est très bien conçue, nous nous doutons que ces orphelins n'auront encore pas une minute de répit dans ce roman mais, nous avons la joie de les retrouver encore plus fort et plus combattant que dans le tome précédent.
L'auteur nous plonge dans un univers assez sombre cette fois-ci. Nous nous représentons un endroit assez obscure remplit de nuages, mais les enfants Baudelaire redonnent de la lumière et de la couleur à ce roman fabuleux.



Est-ce que j'ai aimé ce livre ?


Encore une fois j'ai adoré cette suite. Bon, pour moi il est un peu moins bon que le tome précédent mais au final j'ai quand même hâte de lire la suite.
J'aime beaucoup les descriptions de l'auteur et le fait aussi qu'il nous plonge vraiment au coeur de l'histoire c'est comme si nous y étions pour de vrai en compagnie de ces chers orphelins Baudelaire.
Donc c'est pour moi, une histoire très plaisante à lire même si nous voyons que les orphelins n'ont pas finis d'en baver.
Lien : http://lesangdeslivres.blogs..
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